-
27 oct. 2025 Les invités de RTL : l'intégrale
-
"On a recréé un chemin direct de la fourche à la fourchette" : à Auray, une ferme municipale alimente les cantines en circuit court
Notre série "En toute sobriété" met en avant des solutions locales pour réduire nos consommations et agir face à l'urgence climatique. Dans cet épisode, une commune bretonne prépare les repas servis aux enfants de la crèche et aux pensionnaires de la résidence pour personnes âgées avec les produits bio cultivés par les maraîchers municipaux.
Combien de louches, monsieur ?" Dans le réfectoire de la résidence publique pour personnes âgées d'Auray, dans le Morbihan, c'est l'heure du potage. Et personne ne rechigne à se servir. "Avant, les légumes surgelés n'avaient pas de goût, maintenant oui", se réjouit Guy, 92 ans. Dans l'assiette, en ce début du mois de septembre : des tomates, des concombres et des courgettes biologiques fraîchement récoltés dans la ferme municipale, située à moins de trois kilomètres. Depuis quelques mois, deux maraîchers employés par la mairie fournissent la cuisine qui prépare les 80 repas quotidiens des résidents, ainsi que celle de la crèche d'à côté.
Lire la suite
______________________________
______________________________ -
Quel budget ?
Olivier Faure, le patron des socialistes, brandit la menace d'une censure si le gouvernement n'accepte pas une taxation des hauts patrimoines. Avant la reprise des débats à l'Assemblée sur le budget, les socialistes mettent sur la table une version allégée de la taxe Zucman, qui rapporterait 5 à 7 milliards d'euros selon eux.
Les députés continuent d'examiner à l'Assemblée le projet de budget 2026 tandis que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale arrive en commissionL’Assemblée nationale a commencé l’examen du budget en séance publique vendredi 25 octobre. Cyprien Caddeo et Raphaël Godechot, journalistes à l'Humanité, vous font un résumé de ce qui est passé au vote ce week-end.
____________________
____________________Invitée politique de "La Matinale" dimanche 26 octobre, Cyrielle Chatelain, présidente du groupe “Écologiste et Social” à l’Assemblée nationale, évoque la réunion entre le bloc central et une partie de la gauche pour trouver un compromis sur le budget.
____________________
____________________L'économiste Gabriel Zucman a défendu samedi sur France Inter la version originelle de la taxe sur les hauts patrimoines qui porte son nom et qui est à l'agenda des discussions parlementaires sur le budget samedi.
Les députés continuent samedi de débattre de la partie recettes du budget 2026 dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale avec, à l'ordre du jour notamment, l'examen de la taxe "Zucman" sur les très hauts patrimoines défendue par la gauche, qui demande des mesures de "justice fiscale", mais rejeté par la droite et le bloc central.
Moui. Alors que les débats ont commencé sur l’examen du projet de budget 2026 à l’Assemblée nationale, les socialistes entendent bien tenir leur promesse et introduire par voie d’amendement, une nouvelle fois, la taxe Zucman. Retoquée en commission la semaine dernière, la mesure a fait son retour via l’amendement 3480 déposé par les roses, qui devrait être examiné dans la journée de ce samedi 25 octobre. Dans le détail, il comporte toutefois des différences notables par rapport à ce que préconise l’économiste.
Le texte des socialistes instaure un impôt minimum de 3 % sur les hauts patrimoines, à partir de « 10 millions d’euros », contre 2 % sur les patrimoines à partir de 100 millions pour la taxe Zucman.
Les Echos - Budget 2026 : les députés rejettent le gel du barème de l'impôt sur le revenu
Les discussions continuent aujourd'hui sur le volet « recettes », avec possiblement l'examen de la taxe Zucman, défendue par la gauche. Les députés ont notamment écarté le gel du barème de l'IR, défendu par le gouvernement.
La taxe Zucman vise à créer un impôt plancher de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros.
Les députés du parti socialiste ont déposé jeudi 23 octobre un amendement qui vise à instaurer une "taxe Zucman light", a appris le service politique de franceinfo ce vendredi auprès d'une source parlementaire, confirmant une information de L'Opinion.
épée de damoclès•Le premier secrétaire du Parti socialiste a lancé un ultimatum vendredi au gouvernement, concernant notamment la taxation des ultra-riches
________________
________________
____________________
____________________Malgré la fin du suspens sur le véhicule législatif qui contiendra la suspension de la réforme des retraites de 2023, le groupe socialiste reste divisé quant à l’issue de la stratégie de la non-censure.
Dans cette saison budgétaire, particulièrement floue, chaque nouveau point de clarté ouvre toujours plus d’hypothèses brumeuses. Dernier épisode en date : l’annonce par Sébastien Lecornu, mardi, du passage par une lettre rectificative au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) plutôt que par un amendement pour y intégrer la promesse de suspension de la réforme des retraites de 2023. Si le débat sur le véhicule législatif – technique, mais aussi politique – est enfin tranché, s’ouvrent aussi des hypothèses institutionnelles inédites dans l’histoire de la République.
___________________
___________________Fiscalité : Baisser les impôts de production de 10 milliards d’euros pour les entreprises n’a servi à rien Une récente étude consacrée à la baisse des impôts de production conclut que les entreprises bénéficiaires n’ont rien fait de ce gain. Malgré ce résultat, le gouvernement veut poursuivre dans cette voie.
Les députés de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national ont fait échouer l’adoption de la taxe sur les très hauts patrimoines, portée par la gauche. Le dispositif fera l’objet d’un nouveau débat dans l’Hémicycle à partir de vendredi.Public Sénat - Budget : l’abandon du 49.3 va-t-il prendre les socialistes à leur propre piège ?
Avec le non-recours au 49.3, les socialistes ont été entendus par Sébastien Lecornu. Mais ils sont désormais contraints à voter le budget de la Sécurité sociale pour valider la suspension de la réforme des retraites. Un véhicule législatif confirmé par le Premier ministre, ce mercredi. Sans cette arme du parlementarisme rationalisé, les budgets de la Sécurité sociale comme celui de l’Etat seront également amendés par la droite. Ce qui pourrait amener à des copies finales difficiles à assumer pour les socialistes.Les socialistes dénoncent un budget toujours inégalitaire, après le rejet de leurs propositions phares en commission des Finances. Olivier Faure agite la menace d'une censure si des concessions ne sont pas faites en séance.