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  • Notre France : Parlons-en à Carcassonne ! en direct ce 13 février à 19h

    Planifié pour le 13 févr. 2025

    Le Parti socialiste poursuit sa démarche nationale d’écoute de grande ampleur des Françaises et des Français : des réunions publiques dans toute la France, mettant l'accent sur la parole des citoyennes et citoyens dans un contexte de crise démocratique marqué par une perte de confiance et de dialogue avec les institutions. Ce jeudi 13 février, suivez notre nouvelle session d'échanges en direct de Carcassonne, en présence d'Olivier FAURE, premier secrétaire national du Parti socialiste, aux côtés de :

    • Alix SOLER-ALCARAZ, premier secrétaire fédéral de l’Aude
    • François BRIANÇON, premier secrétaire fédéral de la Haute-Garonne

    -⁠ ⁠Sébastien VINCINI, président du département de la Haute-Garonne

    • Gisèle JOURDA, sénatrice de l’Aude

    -⁠ ⁠Hervé BARO, premier vice-président du département de l’Aude, Maire de Termes

    • Valérie DUMONTET, vice-président du département de l’Aude
    • Tamara RIVEL, vice-président du département de l’Aude
    • Alain GINIES, vice-président du département de l’Aude
    • Maria CONQUET, conseillère départementale de l’Aude, canton de Carcassonne, secrétaire de section de Carcassonne
    • Thierry LECINA, conseiller départemental de l’Aude
    • Marie-Christine BOURELLE, conseillère départementale de l’Aude
    • Paul GRIFFE, conseiller départemental de l’Aude
    • Marie-Ange LARRUY, conseillère départementale de l’Aude (PCF)
    • Philippe GREFFIER, premier adjoint de Castelnaudary, Président de la communauté de communes
    • ⁠Éric GROS, maire de Pradelles-Cabardès
    • Thierry MASCARAC, maire de Rouffiac d’Aude
    • ⁠Alain COSTE, conseiller régional (Aude)
    • Fabrice DE COMARMOND, conseiller Régional (Haute-Garonne)
  • Le Grand Continent - IA : que peut l’Europe face à l’Empire numérique de Donald Trump ? Une conversation avec Anu Bradford

    « La plus grande menace pour l'effet Bruxelles n’est pas Trump — ce sont les Européens eux-mêmes. »

    Alors que le monde de l’IA se réunit à Paris, l’alliance entre le gouvernement américain et les Big Tech de la Silicon Valley voudrait casser le modèle européen fondé sur la régulation du numérique.

    Comment résister ? Pour la juriste de Columbia Anu Bradford, l’Europe pourrait remporter le bras de fer si elle cesse d’avoir peur de son propre agenda. 

    Avec l’arrivée des oligarques techno-césaristes de la Silicon Valley à Washington, le modèle de régulation numérique américain que vous décriviez dans Digital Empires a-t-il radicalement changé ?

    À bien des égards, le retour au pouvoir de Trump renforce la compréhension des États-Unis comme un modèle numérique techno-libertarien axé sur le marché. C’est toujours le cadre pertinent pour comprendre comment la puissance américaine intègre la dimension technologique. Avec Trump, les Big Tech étendent désormais leur pouvoir aux institutions démocratiques et aux processus politiques — il n’y a qu’à penser au rôle d’Elon Musk dans l’élection, aux dons que ces entreprises ont faits pour l’investiture du 20 janvier et aux places que leurs dirigeants occupaient pendant la cérémonie.

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