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La campagne des Européennes : revue de presse et sondages (mise à jour du 4 avril)

A LA UNE

Baromètre d’intentions de vote aux élections européennes 2024 – Vague 4

Enquête Toluna Harris Interactive pour Challenges, M6 et RTL

Enquête réalisée en ligne du 28 au 29 mars 2024. Échantillon de 2 220 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont 1 976 personnes inscrites sur les listes électorales françaises. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et comportement électoral antérieur de l’interviewé(e).

4 avril

INFO RTL - Élections européennes : la liste RN creuse l'écart sur Renaissance selon notre sondage

Alors que la liste Renaissance accuse un léger coup d'arrêt, Jordan Bardella reste ancré à la tête des intentions de vote.

.... À gauche, Raphaël Glucksmann semble profiter de ce coup d'arrêt avec sa liste PS-Place Publique. Il consolide sa troisième place avec 13 % d'intentions de vote et se positionne comme la principale force de gauche dans les intentions de vote.

Euronews - Selon un sondage, la Commission européenne ne gagne pas les cœurs et les esprits des Européens

La cote de popularité de la Commission européenne est profondément divisée au sein de l'UE et alarmante dans une poignée d'États membres, selon un sondage, ce qui soulève des questions quant à la candidature d'Ursula von der Leyen à un second mandat à la tête de l'institution.

Une majorité d'électeurs (63 %) considère le travail de la Commission de manière négative ou n'a pas d'opinion. C’est ce qui ressort du sondage exclusif réalisé par Ipsos pour Euronews, ce qui suggère que l’institution ne parvient pas à toucher la plupart des Européens.

Les Echos - Européennes 2024 : le PS met temporairement ses désaccords de côté

Raphaël Glucksmann, qui mène la liste PS-Place publique pour les élections européennes, sera en meeting ce mercredi à Rouen avec le patron des socialistes Olivier Faure et son principal opposant Nicolas Mayer-Rossignol.

"L’Evénement, l’interview" - Européennes 2024. Avec Raphaël Glucksmann sur France 2 à 20h37

Le 2 avril, Raphaël Glucksmann, tête de liste Place publique-Parti socialiste pour les élections européennes, répond en direct aux questions de Caroline Roux. 

Le Figaro - Européennes 2024 : Glucksmann redoute la «montée de sujets polarisants de manière artificielle», poussés par des ingérences étrangères

Invité de France 2 mardi soir, la tête de liste PS-Place publique aux élections européennes a dénoncé les futures intrusions durant la campagne qui «favoriseront ceux qui servent les intérêts politiques de Poutine».

C’est son cheval de bataille. Tête de liste PS-Place publique pour les européennes, Raphaël Glucksmann continue de mener son combat contre l’influence des grandes puissances. Qu’elles soient chinoise, qatarie, et surtout russe. Invité mardi soir de France 2, l’essayiste, qui est devenu ces derniers jours le troisième homme de ce scrutin à en croire les sondages, l’a martelé : «Oui, il y aura des ingérences» pendant les élections de 2024, une «année de bascule». Et de mettre dans son viseur les probables actions cyber étrangères qui «favoriseront ceux qui servent les intérêts politiques de Poutine, c'est-à-dire les extrêmes droites européennes».

3 avril

Public Sénat - Européennes 2024 : « Il faut qu’on continue, qu’on amplifie et qu’on garde cette flamme », plaide Raphaël Glucksmann

Invité par le groupe socialiste ce mardi 2 avril au Sénat, le candidat PS-Place Publique, Raphaël Glucksmann, est revenu sur son début de campagne réussi, marqué par une dynamique sondagière en hausse et des sorties médiatiques remarquées. Objectif du député européen sortant ? « Amplifier et garder cette flamme », comme il le raconte au micro de Public Sénat.

France Info - Européennes : Raphaël Glucksmann refuse de "faire le mariole" sur Tik Tok pour dénoncer les ingérences étrangères

La tête de liste PS-Place publique aux européennes Raphaël Glucksmann a affirmé mardi 2 février sur France 2 avoir quitté le réseau social chinois Tik Tok, par refus d'y "faire le mariole" tout en y dénonçant les ingérences étrangères. "C'est une question de cohérence. Ce réseau social, c'est une pompe (à fric, ndlr) à donner au service du parti communiste chinois. Donc, je ne me voyais pas faire le mariole sur Tik Tok tout en dénonçant les ingérences étrangères", a-t-il expliqué, invité de "L'Evènement, l'interview"

France Culture - Européennes : comment les divisions à gauche ont ouvert un boulevard à l’extrême droite

Face aux scores records du Rassemblement national ces dernières années et à l’approche des élections européennes en juin, nous nous demandons ce matin quel rôle a joué la gauche dans le développement exponentiel de l’extrême droite en France.

Ce matin Guillaume Erner reçoit Philippe Corcuff professeur de science politique à l’Institut d’études politiques de Lyon, auteur, avec Philippe Marlière de Les Tontons flingueurs de la gauche : lettres ouvertes à Hollande, Macron, Mélenchon, Roussel, Ruffin, Onfray (Textuel, 3 avril 2024).

Le Nouvel Obs - Face à la dynamique Glucksmann, les macronistes cherchent la parade

Coup de blues ? Signe de fébrilité ? Eclair de lucidité ? Sous cape, ce député cent pour cent acquis à la cause macroniste dit toute son inquiétude, à neuf semaines des européennes. Depuis des jours, il ne voit plus « que » ça : la bonne dynamique de la campagne de Raphaël Glucksmann et celle, sans grand relief, de la candidate Renaissance Valérie Hayer. Comme ses camarades, il a tiqué sur ce sondage Harris qui, le 20 mars dernier, créditait pour la première fois l’essayiste de 13 % des intentions de vote. A cinq petits points seulement de la liste de la majorité (18 %). Certes la campagne est encore longue. Mais notre élu s’alarme : « Glucksmann peut prendre tout le monde de court. S’il agrège des deux côtés, qu’il parvient à capter notre électorat proeuropéen de centre gauche et, dans le même temps, des électeurs mélenchonistes de 2022 qui aujourd’hui n’en peuvent plus de La France Insoumise, je crois qu’on ne peut plus exclure qu’il finisse par nous dépasser »

.... Le social-démocrate, qui avait à plusieurs reprises tendu la main à François Ruffin, ne désespère pas de « le convaincre un jour que l’Europe n’est pas structurellement néolibérale ». Mais pour le moment, M. Ruffin juge sa conversion à la « régulation », « plutôt superficielle », « de circonstance ». A deux mois de l’élection européenne, chacun à gauche s’applique à jouer sa spécificité.

2 avril

Libé (abonnés) Thomas Legrand - Le vide au cœur de la gauche démocrate, la chance de Glucksmann

Le penchant sarkozyste de la macronie et la radicalité de la mélenchonie ouvrent un espace au candidat de Place publique, capable de séduire l’électorat orphelin du Parti socialiste. Jusqu’à reposer la question de l’équilibre des forces.

Le début d’effet Glucksmann dans les sondages en vue des européennes est-il la conséquence des insuffisances mélenchono-macroniennes ou la manifestation d’une ébauche de retour de la social-démocratie ? La masse des électeurs habituels de ce que l’on appelait autrefois «la gauche démocratique», c’est-à-dire du Parti socialiste et de ses satellites, existe toujours. Ces peu ou prou 20 % de Français qui n’ont pas cessé, ces dernières années, de réélire leurs maires socialistes, leurs conseillers départementaux et régionaux socialistes, qui ont, pour ceux qui sont salariés, placé la CFDT en tête de tous les syndicats, sont toujours vivants. Ils avaient, en bons républicains, été les fers de lance de la stratégie anti-FN, puis anti-RN en offrant, avec plus ou moins d’enthousiasme mais un grand sens des responsabilités, leurs voix, dès le premier tour à Emmanuel Macron en 2017 et 2022.

Le Monde (abonnés) - François Ruffin et Raphaël Glucksmann, entre Amiens et Charleroi, deux visions de l’Europe

Les deux figures de la gauche souhaitent favoriser l’industrie locale mais divergent sur les moyens d’y parvenir, entre euroscepticisme d’un côté et volonté d’instaurer un « protectionnisme écologique européen » de l’autre.

En janvier, les deux figures montantes de la gauche avaient mis en scène leurs divergences idéologiques à travers un échange épistolaire à fleurets mouchetés. Dans sa missive, le député La France insoumise (LFI) de la Somme François Ruffin avait comparé Raphaël Glucksmann à « une élite qui avance avec arrogance », « inconsciente », selon lui, des ravages de l’Union européenne sur l’industrie, incarnés par les délocalisations, de Whirlpool à Delsey en passant par Goodyear. L’eurodéputé, tête de liste du Parti socialiste (PS) pour l’élection européenne (UE) du 9 juin, lui avait répondu quelques jours plus tard, en lui reprochant ses « approximations » et ses « caricatures ». Deux mois plus tard, à vingt-quatre heures d’intervalle et à 200 kilomètres d’écart, le duo a livré un nouvel épisode de ce duel à distance, sur le terrain cette fois.

1er avril

Radio France - Européennes : Raphaël Glucksmann est-il la solution à gauche ? Les militants sont divisés

Il est entre 11 et 13% dans les sondages. La tête de liste socialiste (PS-Place publique) cherche à se présenter comme le vote "utile" à gauche contre le RN et les macronistes. Mais le pari n'est pas gagné à en croire des militants de gauche. Le reportage de Victoria Koussa.

Trois jeunes autour d'un sirop à l'eau à quelques pas de l'Assemblée, trois jeunes déçus de la tournure que prend l'Union à gauche. Sirine milite chez Génération, le micro-parti de Benoît Hamon, elle en veut à Raphaël Glucksmann de ne pas avoir défendu une liste commune aux Européennes, elle est frustrée. "Frustrée qu'en fait, même s'il grimpe dans les sondages, on se grappille encore des miettes, le RN est très, très, très, très, très loin devant, alors qu'avec une liste unie, on aurait été la première liste. Moi, je suis frustrée de ça. Ça ne sera jamais la même chose qu'une liste unique qui était prévue à 35%. Et là, on se grappille des 8%, 7%, 5%. Moi, c'est ça qui me frustre et qui me met extrêmement en colère", explique Sirine.

31 mars

France Info, vidéo, le 29 mars - "Demain l'Europe" avec Raphaël Glucksmann

Fondation Jean Jaurès, Antoine Bristielle  - De Macron ou Mélenchon à Glucksmann : vers un renouveau de la social-démocratie?

La liste Parti socialiste/Place publique menée par Raphaël Glucksmann est troisième dans les intentions de vote pour les élections européennes de juin 2024. Dans cette nouvelle analyse réalisée grâce aux données de notre Enquête électorale française 2024, Antoine Bristielle, directeur de l’Observatoire de l’opinion de la Fondation, identifie les profils des électeurs « switchers » de Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron et les raisons qui les font basculer dans le camp de Raphaël Glucksmann.

Au sein d’un espace politique tripolaire, le Parti socialiste (PS) semblait depuis 2017 être pris en étau entre d’un côté Emmanuel Macron et sa posture centriste et, de l’autre, Jean-Luc Mélenchon, capable de rassembler au moment de l’élection présidentielle de 2022 les électeurs de gauche radicale et au-delà, dans une logique de vote utile.

30 mars

BVA - Intentions de vote aux élections européennes – 29 Mars 2024

A gauche, un rapport de force inchangé, dominé par Raphaël Glucksmann

  • Raphaël Glucksmann maintient son avance sur les autres forces de gauche, avec 11% d’intentions de vote en sa faveur (stable).
  • Le vote à son égard est motivé aussi bien par ses propositions (32%) que par son étiquette politique (33%) ou sa personnalité (25%).
  • A l’inverse, la liste de LFI (créditée de 7% des intentions de vote, comme le mois dernier) est avant tout un vote d’étiquette : 62% des électeurs potentiels de la liste se positionnent d’abord sur le nom du parti.

RTL - Européennes : 59% des Français se disent intéressés par les élections, selon notre sondage

Le sondage BVA Xsight pour RTL publié ce 29 mars pointe un intérêt modéré de la part des électeurs français pour ce scrutin.

Toute l'Europe - Les sondages français des élections européennes de 2024 (mise à jour du 29 mars)

Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se tiennent dans un mouchoir de poche. Le Parti socialiste, régulièrement donné autour de 10 % des intentions de vote, semble se stabiliser en troisième position. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a depuis dégringolé dans les études d’opinion et passe péniblement la barre des 7 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui, autour de 8 % depuis décembre.

Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?

Le Monde - Raphaël Glucksmann souhaite la mise en place de « voies d’immigration légales » en Europe

La tête de liste du Parti socialiste et de Place publique aux élections européennes a défendu sa vision de la politique migratoire européenne réfutant le « mythe » de l’immigration zéro.

20 minutes - Présidentielle américaine : Raphaël Glucksmann prévient que Trump nous laissera « seuls face à Poutine »

géopolitiqueLa tête de liste PS-Place publique aux élections européennes estime que « si Trump est élu, nous risquons de finir l’année seuls face à la guerre, seuls face à Poutine, seuls face au péril climatique »

29 mars

France Info - Elections européennes 2024 : "La rupture avec Jean-Luc Mélenchon est consommée" sur le fond, insiste Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place publique

"Il faudra une union de la gauche après ces élections, mais ce ne sera pas sur la ligne de Jean-Luc Mélenchon", martèle la tête de liste PS-Place publique, invité de "Demain l'Europe" sur franceinfo. 

France Info, Renaud Dély - Raphaël Glucksmann est le troisième homme des élections européennes, selon les sondages. Il est la tête de liste PS-Place publique. 

Raphaël Glucksmann est troisième sur le podium dans les sondages pour les élections européennes, très loin de Jordan Bardella, et encore nettement distancé par la tête de liste macroniste Valérie Hayer, même si l’écart s’est resserré, de cinq à neuf points, selon les enquêtes. Il est toutefois clairement devant ses concurrents communistes, Verts et insoumis. 

Sud Ouest - Élections européennes : Glucksmann, candidat PS-Place publique, veut taxer les super-riches à l’échelle du continent

Le candidat PS-Place publique aux Européennes Raphaël Glucksmann veut « imposer une taxation sur les plus hauts patrimoines à l’échelle du continent européen », afin de financer notamment la transition écologique.

Radio France, Charlotte Chaffanjon - Gauche : la course de petits chevaux au détriment de l’union face au climat social ?

Dans l'histoire politique de Charlotte Chaffanjon, on commence à s’y perdre dans la course des petits chevaux à gauche pour la présidentielle, alors que pourtant la période devrait leur être propice...

Challenges - Elections européennes : malgré la percée de Raphaël Glucksmann, la gauche pas tirée d’affaire Par André Comte-Sponville

EDITORIAL - La gauche reste divisée en trois camps principaux qu’on imagine mal gouverner ensemble. De plus, leurs objectifs ne peuvent être atteints sans une économie performante. Et en cela, Raphaël Glucksmann n’est pas plus convaincant que ses prédécesseurs.

28 mars

France Info - "On est le premier parti de gauche dans les sondages" : au meeting de Raphaël Glucksmann près de Toulouse, les militants veulent croire à une dynamique

L'eurodéputé, candidat de l'union entre le PS et Place publique aux européennes, était en meeting dimanche à Tournefeuille. Les militants venus le voir sont galvanisés, notamment par les récents sondages.

France 3 - Européennes 2024 : "un nouveau face-à-face entre Emmanuel Macron et le RN, les gens n'en peuvent plus !" Raphaël Glucksmann lance la campagne

Le premier meeting du candidat européen Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) a eu lieu ce dimanche 24 mars à Tournefeuille (Haute-Garonne) près de Toulouse. Il a plaidé pour « une autre Europe, plus juste, plus digne ». Environ 2 500 personnes y ont participé. Le scrutin aura lieu le 9 juin.

BFM - "Notre puissance européenne sera une puissance sociale": le discours intégral de Raphaël Glucksmann

26 mars

Toute l'Europe - Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ? (mise à jour du 25 mars)

Grâce à notre agrégateur de sondages, visualisez les dernières intentions de vote des Français aux élections européennes de 2024.

Euractiv - CETA : la France pourrait ignorer l’avis du Parlement en cas de rejet

Alors que le Sénat vient de rejeter l’accord commercial avec le Canada (Ceta) et qu’un nouveau refus se profile à l’Assemblée nationale, la France pourrait ne pas tenir compte de cette décision. L’opposition dénonce une dérive anti-démocratique.

« Si le vote du Sénat n’a pas d’impact […], que le gouvernement ne saisit pas la Commission européenne et ne notifie pas, vous porterez la responsabilité de construire de la défiance vis-à-vis de la politique », a prévenu le sénateur écologiste (Les Verts/ALE) Yannick Jadot après le rejet du Ceta au Sénat jeudi 21 mars, s’adressant au gouvernement.

Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?

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25 mars

IFOP - Les intentions de vote aux élections européennes

A près de deux mois des élections européennes, Ifop-Fiducial pour le Figaro, LCI et Sud Radio ont interrogé les Français quant à leurs intentions de vote.

Le Rassemblement National en pole position depuis plusieurs mois, confirme la dynamique enclenchée depuis les dernières intentions de vote et rassemble 30% des intentions de vote, soit +1 point depuis le mois dernier. Dans le détail, la liste de Jordan rassemble une partie importante des salariés, qui seraient 37% à donner leur voix à cette liste

TF 1 - SONDAGE EXCLUSIF LCI - Européennes : le RN toujours largement en tête devant le camp présidentiel

D'après une enquête Ifop-Fiducial pour LCI, "Le Figaro" et Sud Radio, le Rassemblement national est toujours largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes.
 
La liste de Jordan Bardella devance celle de Valérie Hayer pour la majorité présidentielle.
 
Selon ce sondage, le PS demeure en tête de la gauche.

Le PS, première force de gauche

Elle devance celle du Parti socialiste, qui complète le podium et s'impose comme la première force de gauche. La liste portée par Raphaël Glucksmann obtient 11% des intentions de vote (+2), et fait mieux que les autres partis de gauche représentés à l'Assemblée nationale : les Écologistes (7%, -1), la France insoumise (6%, -2) et le Parti communiste (3%, -0,5).

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