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Fondation Jean Jaurès - La semaine de quatre jours : ni remède, ni solution magique, mais un outil possible du commun au travail ?

Évoquée par certains comme possible solution pour favoriser le bien-être des salariés et l’attractivité des entreprises mais pointée du doigt par d’autres pour ses effets pervers en matière notamment de stress au travail, la semaine de quatre jours fait l’objet de nombreux débats. Pour en comprendre les tenants, Sarah Proust analyse les différents aspects de cette évolution, ainsi que les expérimentations menées en France et dans le monde.

Le travail semble être devenu depuis quelques mois, à l’occasion notamment de la réforme des retraites, l’un des grands sujets d’actualité, de débats et d’intérêt en France (même si nous considérons que nous parlons davantage des conditions dans lequel le travail s’exerce que du travail en lui-même, nous y reviendrons).

L’un des sujets en vogue est la semaine de quatre jours qui semble être le remède à tous les maux du travail. Il n’y a pas un débat qui ne se déroule sans que la semaine de quatre jours ne soit citée en exemple comme une réussite dans telle entreprise, sans que l’on commente le énième sondage qui atteste l’appétence des salariés pour cette organisation de travail1 ou que l’on exhume une enquête internationale qui démontre les bienfaits de cette semaine de quatre jours et pour les salariés et pour l’organisation.

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