Le chef du groupe PS à l'Assemblée rappelle que «tout» les «distingue» du parti à la flamme.
Le «coup» de Marine Le Pen n'a pas été vécu de la même manière par tout le monde. Le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, y a par exemple vu la preuve que la gauche est l'alternative à venir, et que l'absence de soutien des Républicains a empêché de renverser le gouvernement. À l’inverse, le président du groupe socialiste, Boris Vallaud, a vécu ce moment comme un «coup de poing dans le ventre». Lui ne souhaite pas se «réjouir» de cette initiative, et rappelle ses profondes divergences avec le Rassemblement national.
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