Au Stade de France lors de la finale de la Ligue des Champions ou lors de la dispersion d'une centaine de voyageurs Gare de l'Est, samedi 5 juin, les policiers n'avaient-ils d'autres choix que de faire usage de gaz lacrymogène sur la foule ? Denis Jacob, secrétaire général du syndicat Alternative police, et Sebastian Roché, politologue spécialisé en criminologie, exposent leur avis sur la question dans les colonnes de Marianne.
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