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  • L'Obs - Qu'est-ce que le régiment Azov, fondé par un néonazi ukrainien ?

    Formé en 2014 par un néonazi ukrainien, le régiment Azov est au coeur de la propagande du camp prorusse dans la guerre de l'information qui se joue en Ukraine. Mais qu'en est-il réellement ? L'Obs fait le point sur cette unité militaire d'environ 4000 soldats qui participe activement à la défense ukrainienne, notamment à Marioupol

  • Europe 1 - Olivier Faure ne veut pas "recommencer le PS avec les éléphants d'hier"

    Alors que le parti socialiste se dirige, selon les sondages, vers son pire score lors d'une élection présidentielle, Olivier Faure travaille déjà sur la suite. Le premier secrétaire a expliqué ne pas être contre la candidature de François Hollande pour les législatives, mais ne souhaite, pour autant, pas "recommencer le PS avec les éléphants d'hier".

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  • Fondation Jean Jaurès - Les chemins de l'égalité. Les femmes, les hommes et le travail

    Romain Bendavid, directeur de l’Expertise Corporate et Climat social au sein du département Opinion de l’Ifop, et Flora Baumlin, directrice d’études dans l’Expertise Corporate et Climat social au sein du département Opinion de l’Ifop, présentent leur livre "Les chemins de l'égalité. Les femmes, les hommes et le travail", coédité par la Fondation Jean-Jaurès et les éditions de l'Aube. Les inégalités auxquelles les femmes sont confrontées dans le monde professionnel sont plurielles : plus nombreuses à occuper des emplois précaires, moins qualifiés, elles sont moins rémunérées que les hommes.

    Ce constat préoccupant, Flora Baumlin et Romain Bendavid l’étayent avec le résultat de nombreuses enquêtes, mais ils investiguent également d’autres dimensions de ces inégalités : la place du travail, le vécu, le sentiment de reconnaissance, la charge mentale ou encore l’expérience de plafonds de verre objectifs. Ils dessinent, en parallèle, des voies à emprunter pour faire progresser une égalité par le haut et par le bas, convaincus que les fortes transformations dans le travail engendrées par la crise sanitaire pourraient constituer une opportunité de changement.

  • Télérama - Raymond Depardon : ”Je suis un photographe de la décolonisation”

    C’était son premier voyage en Afrique. En juillet 1960, un jeune photoreporter habitué à couvrir l’actualité et les vedettes s’envolait pour Alger, dûment cravaté. Raymond Depardon y est retourné à plusieurs reprises au cours des soixante dernières années. Afin de couvrir ce que l’on nommait pudiquement « les événements », pour ne pas dire la guerre d’Algérie, tout d’abord. Dans les années 1980, ensuite. Pendant la guerre civile qui a ravagé le pays de 1991 à 2002, aussi. Et plus récemment, en 2019. Entre-temps, Depardon est devenu l’immense photographe et réalisateur que l’on sait. Celui qui s’est peu à peu éloigné des codes de l’image de presse pour s’intéresser à ces « temps morts » – qui en disent pourtant si longs – et qui composent sous son objectif une photographie documentaire éminemment personnelle, entremêlée de sa propre histoire. Lors de son dernier voyage, il a rencontré l’écrivain Kamel Daoud chez lui, à Oran. Tous deux exposent aujourd’hui ensemble à l’Institut du monde arabe, à Paris, où les images d’Algérie du premier dialoguent avec les textes qu’elles ont inspirés au second. Raymond Depardon revient ici sur son rapport à l’Algérie, photos à l’appui.

    Exposition « Raymond Depardon/Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019 », jusqu’au 17 juillet, Institut du monde arabe, Paris 5e, www. Ima.org

    À lire : Raymond Depardon et Kamel Daoud, Son œil dans ma main, coéd. Barzakh-Images plurielles, 232 p., 35 €.