Klaus Kinzler, l’enseignant d’allemand dont le nom avait été placardé à l’entrée de l’IEP de Grenoble en mars pour s’être opposé à l’emploi du mot «islamophobie», continue de dénoncer ce qu’il perçoit comme une dérive idéologique de l’institut et dénonce un «endoctrinement». Sa directrice a décidé lundi de le suspendre pour quatre mois.
Lire la suite
_____________________
_____________________
_____________________
_____________________
Querelle intestine
Entre réels dysfonctionnements et tentatives de récupération politique, pas facile d’y voir clair parmi les propositions avancées pour sortir Sciences Po Grenoble de la crise. Marianne fait le point.
C’est une querelle qui n’en finit pas. En mars, les noms de deux enseignants, accusés d’« islamophobie », avaient été placardés sur les murs de Sciences Po Grenoble, suscitant une vive polémique. Suivie par l’ouverture d’une enquête par le parquet de Grenoble et la publication d’un rapport de l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGESR).