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  • OFCE - La BCE doit-elle s’inquiéter de l’augmentation récente de l’inflation ?

    En août 2021, l’inflation dans la zone euro a atteint 3 % en glissement annuel. Un tel niveau n’avait pas été observé depuis novembre 2011 et dépasse la cible de 2 % que s’est fixée la BCE. Cette dynamique récente est en partie tirée par le prix du pétrole mais on observe dans le même temps un rebond de l’inflation sous-jacente, qui exclut du calcul les indices des prix de l’énergie et du secteur alimentaire. L’inflation aux États-Unis renoue également avec des niveaux qui n’avaient pas été observés depuis plusieurs années, ce qui y alimente le débat sur un potentiel retour du risque inflationniste. De par leur mandat orienté vers la stabilité des prix, il est légitime que les banques centrales s’interrogent sur les sources de ce retour de l’inflation. Dans un document récent en vue de la préparation du Dialogue monétaire entre le Parlement européen et la BCE, nous discutons cependant du caractère temporaire plutôt que permanent de cet épisode d’inflation.

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  • Fondation Jean Jaurès - La République tchèque, ce pays où la gauche n’existe plus ?

    À moins d’une semaine des élections législatives les 8 et 9 octobre prochains, le parti social-démocrate tchèque continue à recueillir moins de 5% d’intentions de vote dans les derniers sondages. Dans une élection au scrutin proportionnel, un tel résultat signifierait une absence de représentation nationale pendant cinq ans. Comment la gauche tchèque a-t-elle pu se retrouver dans cette situation ? Est-ce à dire qu’il n’y a plus de gauche en République tchèque ? Pourrait-elle se retrouver dans d’autres formations ? Pavel Rehor, collaborateur auprès de la présidence et de la direction générale de la Fondation, livre son analyse.

    Le parti social-démocrate tchèque (Ceska strana socialné demokraticka, CSSD), pendant longtemps principal parti de gouvernement de gauche en République tchèque, n’est pas épargné par la crise que traverse la gauche européenne. À la tête d’un gouvernement de coalition entre 2013 et 2017, il a ainsi chuté de 20,5 % des suffrages aux élections législatives de 2013 à 7,27 % aux élections de 2017. Il semble avoir été sanctionné suite à sa présence au pouvoir et son destin se confond avec les autres partis socialistes et sociaux-démocrates européens

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