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  • Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? | Streetphilosophy | ARTE

    Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Les questions autour du travail se réinventent face aux enjeux du monde moderne. De l’usine jusqu’au canapé du salon, le travail prend aujourd'hui de multiples visages.

    Certains souhaitent un poste à l’emploi du temps bien réglé, d’scoiété capitaliste autres chérissent la flexibilité d’une profession libérale. Pour ceux qui ont fait de leur passion leur profession, il n’existe pas de coupure entre travail et temps libre. Mais pour la plupart d’entre nous, trouver un emploi qui nous ressemble reste une utopie. Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Comment le modèle soviétique peut-il nous faire réfléchir sur le fonctionnement de notre propre système ? Magazine (Allemagne, 2019, 27mn)

  • Crise aux Etats-Unis : un effet de longue traine pire qu'ailleurs [Alexandre Mirlicourtois]

    Les avions cloués au sol, c'est tout un symbole d‘une Amérique au ralenti. Le transport aérien, c'est un maillage indispensable et un poids un lourd du tissu économique qui contribue directement à plus de 2% du PIB et emploie plus de 4 millions de personnes. [...]

  • La France est "en déréliction", selon l'économiste Christophe Ramaux

    France Info : Membre des Economistes atterrés, Christophe Ramaux est invité dans le JT du soir de franceinfo, mardi 7 juillet, pour commenter le redémarrage de l’économie après la pandémie de coronavirus.

  • Libé - Le Goulag en version chinoise Par Manon Pignot , maîtresse de conférences en histoire contemporaine (université de Picardie-Jules-Verne) — 8 juillet 2020

    Sous couvert de lutte contre le terrorisme islamiste, la Chine se livre à une répression implacable de la minorité ouïghoure en s’en prenant notamment aux jeunes générations. Cette politique de persécution porte un nom, «la purification ethnique».

    Depuis une dizaine d’années, ONG et reporters dénoncent sans relâche la persécution que subit la communauté ouïghoure de Chine, dans la province du Xinjiang. Sous couvert de lutte contre le terrorisme islamiste, les autorités chinoises se livrent à une répression implacable de cette minorité turcophone et à majorité musulmane, estimée entre 10 millions et 15 millions d’habitants et vivant en Asie centrale, à l’ouest du pays, dans ce qui était autrefois appelé le «Turkestan oriental».

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