Dans le "privilège blanc" évoqué par Virgine Despentes, Tania de Montaigne voit surtout le non-respect "des droits humains" pour des questions de couleur de peau, de sexe, de religion ou d'orientation sexuelles.
La lettre de Virginie Despentes pour dénoncer le racisme en France n’a pas fait l’unanimité, y compris auprès de ceux qui luttent également pour cette cause. Sur le plateau de “C Politique” dimanche 7 juin, la romancière Tania de Montaigne a expliqué en quoi le texte de l’autrice de “Vernon Subutex” lui posait problème.