En effet, alors que sous l’effet de la crise, il semble que ce type de positions soit plus difficile à tenir et à argumenter, en réalité de nombreuses analyses de gauche soulignent avec pessimisme à quel point il ne sera pas évident de pousser en faveur d’un changement systémique, que ce soit sur les questions productivistes, sociales ou écologiques [1]. Ce ne sera pas évident car ces courants restent solidement ancrés dans les champs politiques et économiques dans lesquels ils disposent de relais pérennes, au plus haut niveau du pouvoir.
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