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  • Question de Valérie Rabault au Premier ministre sur la grève des avocats - 21 janvier 2020

  • Olivier Faure (PS) : «Il n'y a pas une pensée unique qui devrait s'imposer»

    Le premier secrétaire du Parti Socialiste, Olivier Faure, était l’invité de Damien Fleurot dans La Matinale sur CNEWS, ce jeudi 23 janvier.
    Le député de Seine-et-Marne s'est opposé au recul de l'âge de la retraite et s'est déclaré favorable à la mise en place d'un pacte générationnel.
    Interrogé sur les divisions de la gauche sur la réforme des retraites, le représentant du Parti Socialiste a rappelé que les divisions agitaient tous les partis. «Nous avons montré hier qu'il y a un autre chemin, a t-il déclaré à propos de la contre-proposition du PS. Il n'y a pas une pensée unique qui devrait s'imposer. Nous pouvons avoir une réforme qui ne soit pas une régression mais un progrès pour tout le monde».
    Enfin, Olivier Faure a insisté sur le critère de pénibilité à reconsidérer dans le projet de réforme des retraites et qui sera débattu à l'Assemblée nationale. «Je veux bien que l'on fasse quelque chose sur les égoutiers. Pourquoi ? Parce qu'ils ont 17 ans d'espérance de vie en moins que la moyenne nationale, et donc les faire partir au même âge que les autres c'est tout simplement criminel». Mais, le leader socialiste veut aller plus loin. Il estime que l'expression «métier très pénible» écorche le Président de la République et prône l'élargissement des critères de pénibilité «afin qu'un plus grand nombre de gens accèdent à ces conditions de départ».

  • Libé - Grâce à Macron, le PS se (re)place au sein de la gauche

    L'opposition au gouvernement et la mobilisation lors des grèves ont rapproché les socialistes et les communistes. Mercredi, des élus des deux partis on présenté leurs contre-propositions pour la réforme des retraites.

    Une belle histoire est en train de naître sous nos yeux : le Parti socialiste se rabiboche avec la gauche rouge et verte. Des papouilles à foison. Les protagonistes saluent les efforts du président de la République, Emmanuel Macron, qui a réussi à mettre tout le monde contre lui. Résultat : les gauches tentent de passer un échelon. Des propositions après l’opposition. Pour le moment, La France insoumise reste à l’écart. Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon explique que cette alliance est factice et que les différences restent nombreuses entre uns et les autres.

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  • L'Opinion - Municipales 2020: ces villes où le PS a dû renoncer à prendre la tête d’une liste

    Si les socialistes présentent de bonnes chances de conserver les mairies de Nantes, Paris, Lille et Rennes, ils renoncent ailleurs à se présenter sous leurs propres couleurs au profit d’autres formations

    Opération sauvetage. A moins de deux mois du premier tour des élections municipales, le Parti socialiste se raccroche à ses sortants pour espérer conserver l’un des derniers leviers d’influence qu’il lui reste. Sur les 42 villes de plus de 100 000 habitants, seules 14 sont encore dirigées par des maires issus du parti, dont certains se sont plus ou moins rapprochés de La République en marche (LREM) depuis la dernière présidentielle.

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