Face à la percée de Mélenchon, les proches du candidat PS veulent croire que ce dernier reste "central".
La dynamique de la primaire, l'accord avec les écologistes, les mauvaises relations de Jean-Luc Mélenchon avec la direction du PCF… Il y a deux mois, la piste semblait dégagée pour l'envol de la candidature Hamon. Son équipe ambitionnait de grappiller des points au candidat de La France insoumise et à Macron pour passer devant Fillon. Finalement, c'est Hamon qui dévisse quand Mélenchon perce. "Nous sommes pris entre le marteau et l'enclume, entre le vote utile pour Macron et le vote plaisir pour Mélenchon. Les électeurs font aussi payer au candidat estampillé PS les années que l'on vient de vivre", analyse Régis Juanico, un proche de Hamon, qui estime cependant que la dynamique peut encore s'inverser.
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