Perdant mais bon joueur, Manuel Valls avait promis, après la primaire du PS et de ses alliés, de soutenir le candidat socialiste. Avant de s'en éloigner, semaine après semaine.
Manuel Valls l'avait pourtant assuré, le soir de sa défaite à la primaire de la gauche. Loyal, il avait promis de ne pas laisser tomber le Parti socialiste, et donc de soutenir le vainqueur, Benoît Hamon. Deux mois plus tard, retournement de situation. L'ancien Premier ministre ne parrainera pas le candidat PS, qu'il accuse de "sectarisme". Franceinfo résume ce divorce en quatre actes.
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