Alors que les troupes socialistes s'érodent sans discontinuer depuis 2012, le patron de Solferino réitère son objectif. «Je n'ai pas dit mon dernier mot», assure-t-il.
Ce n'est rien de le dire, le PS aborde sa primaire dans un état délétère. Les caisses sont vides, les élections intermédiaires ont toutes été perdues depuis 2012, les sympathisants sont deboussolés, les élus divisés... Le capitaine de ce navire à la dérive, Jean-Christophe Cambadélis, garde pourtant son optimisme. «On disait déjà que le parti était un cadavre à la renverse en 2010.... Soit deux ans avant l'élection de Hollande!», dédramatise-t-il. «Le PS est une valeur sûre, on peut supporter la victoire comme la défaite en 2017», affirme-t-il au Figaro.
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