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  • Le Monde - Non, le monde occidental n’est pas en défaut de spiritualité Par André Grjebine

    L’absence de spiritualité du monde occidental est un argument abondamment ressassé depuis le XIXe siècle. La même semaine, dans les colonnes du Monde, deux écrivains, l’un qui est né et vit en France mais se présente comme de culture musulmane, l’autre Algérien mais qui a pris ses distances avec l’islam, développent des positions quasiment inverses par rapport à cette lamentation. Selon Abdennour Bidar, « le vrai visage du totalitarisme aujourd’hui » résiderait « dans la conspiration terrible, tyrannique et secrète de toutes les forces intellectuelles et sociales qui condamnent l’être humain à une existence sans aucune verticalité. » À cela Boualem Sansal répond : « Avant tout, je crois en la raison humaine : il y a en elle plus de beauté et de spiritualité que dans n’importe quelle religion. L’homme est capable de fouiller l’infini, de photographier le fin fond de l’Univers, de continuer à poser des questions sans se décourager. »

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  • Bruno Le Roux: "La course-poursuite au populisme, fil rouge de la droite et de l’extrême droite"


    Bruno Le Roux: "La course-poursuite au... par rfi

  • Germain (PS) : "Il faut garder le droit de vote des étrangers comme objectif"


    Germain (PS) : "Il faut garder le droit de vote... par LCP

  • LeMonde.fr – Le député « frondeur » Pouria Amirshahi veut créer un lobby citoyen

    L’élu socialiste lance le 8 novembre le « Mouvement commun » pour tenter de réconcilier société civile et politiques

    Le constat n’est plus à établir : dans le monde politique, personne ne conteste que le fossé se creuse chaque jour un peu plus entre les citoyens et leurs représentants. Mais, sur les réponses à apporter, les idées diffèrent et c’est au tour du député socialiste Pouria Amirshahi d’avancer maintenant la sienne, avec le « Mouvement commun » qu’il va lancer le 8 novembre.

    « L’opinion publique pense que les gouvernements sont soit incapables, soit pas sincères et les gens finissent par baisser les bras. L’idée de ce mouvement c’est de se dire : « puisque les politiques n’y arrivent pas, alors faisons sans ». « C’est un appel à ne pas se laisser faire« , explique l’élu des Français de l’étranger. Travailleur social de formation, il veut promouvoir « ceux qui sont dans la production d’idées, dans l’action concrète » et pour cela mélanger monde politique et mouvement social pour créer une sorte de grand lobby citoyen, de « plate-forme pour faire contre culture et s’imposer dans le débat d’idées » .

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  • OFCE - Où est passée la manne pétrolière ? par Mathieu Plane

    La baisse spectaculaire des prix du pétrole depuis la mi-2014, passant d’un baril de brent à 112 dollars en juin 2014 (soit 82 euros) à 55 dollars (49 euros) en moyenne depuis le début de l’année 2015, a conduit à redéployer une partie de la manne pétrolière des pays producteurs de pétrole vers les pays consommateurs. Si cette réduction de 50 % des prix du pétrole en dollars (40 % en euros) améliore mécaniquement notre balance courante, en allégeant notre facture énergétique d’environ 20 milliards d’euros par an, il est instructif d’évaluer les gains pour les ménages et les entreprises issus de cette manne pétrolière.

    Pour les ménages, il y a deux sources directes d’économies : la première est liée à la baisse des prix à la pompe, dont la partie non taxée diminue avec la baisse des prix du pétrole, aux marges des raffineurs près. La seconde est liée à la baisse des prix hors taxes du fioul domestique. Selon les données fournies par le ministère de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie sur les prix à la pompe et le fioul domestique, nous avons évalué que la baisse des prix du pétrole engendrerait un gain direct de pouvoir d’achat pour les ménages de 2,7 milliards en 2014 et 5,8 milliards en 2015[1] (graphique 1), soit 8,5 milliards sur deux ans, ce qui représente 0,6 % du revenu disponible brut annuel des ménages (0,4 point de PIB).

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