Euclide Tsakalotos, le remplaçant de Yanis Varoufákis dans les difficiles négociations avec l’Europe et le Fonds monétaire international, plaide la bonne volonté d’Athènes. Mais refuse une baisse des pensions de retraite qui affecterait une population déjà appauvrie.
La Grèce est une fois de plus au cœur des préoccupations de l’Eurogroupe qui se déroule ce jeudi à Bruxelles. Encore une réunion de la «dernière chance» ? Alors que les discussions semblent dans l’impasse, le nouveau négociateur grec, Euclide Tsakalotos, qui a remplacé Yanis Varoufákis, a accepté, en exclusivité pour Libération, de s’expliquer sur ces négociations si difficiles et trop souvent opaques.
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