Non, l’espace domestique n’est pas cet endroit terne auquel il convient de ne pas jeter un regard. Et ce qui se passe à l’intérieur des maisons est aussi intéressant que ce qu’il y a dehors. C’est la thèse audacieuse avancée dans un essai de Mona Chollet (1), journaliste au Monde diplomatique et qui a l’habitude des sujets iconoclastes : en 2012, son essai Beauté fatale analysait brillamment l’aliénation exercée sur les femmes par la mode et le culte du corps parfait.
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