Le poids des chiffres est accablant. Au premier tour du scrutin départemental, le 22 mars, l’ensemble de la gauche avait recueilli à peine plus du tiers des suffrages, un des étiages les plus bas de son histoire contemporaine. Au second tour, elle a perdu 28 départements, soit près de la moitié de ceux qu’elle détenait depuis 2011.
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