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Non Fiction : Le pouvoir fabuleux de l’oisiveté

Résumé : Dans son essai, Dany Laferrière parle de « choses minuscules » pour faire l’éloge de l’oisiveté dans un monde qui s’y oppose et affirmer le pouvoir de la littérature et de la culture.

Après son Journal d’un écrivain en pyjama, Dany Laferrière revient au genre de l’essai avec L’Art presque perdu de ne rien faire. Le titre même de l’ouvrage renvoie à cette retraite des affaires que Montaigne construisait comme l’espace d’énonciation de ses Essais, il fait écho à l’otium, si cher aux Romains. Dany Laferrière se présente donc dans l’ouvrage comme un écrivain oisif, plus encore un auteur pour qui l’inaction est une nécessité, qui ne peut écrire qu’au détour d’une flânerie dans un café, d’un moment passé dans son fauteuil devant la télévision ou dans sa baignoire à se délasser. Au fil de son œuvre, il a d’ailleurs doté la désinvolture d’une forme d’ironie dont il a fait un point de vue sur les choses qui l’entourent et la clef de sa personnalité littéraire.

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