La première difficulté qui survient pour réfléchir aux mouvements sociaux de la transition en partant des rapports sociaux autour des biens communs est que les biens communs écologiques et sociaux sont de nature très diverse et ont des périmètres d’intéressement qui varient de l’échelle locale à l’échelle globale. Les acteurs dominants sont certes toujours à peu près les mêmes, mais les collectifs des dominés, des victimes et des personnes mobilisées sont à géométrie sociale variable. On semble donc se trouver dans une impasse pour monter en généralité dans l’analyse des mobilisations et des alliances.
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