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« Jaurès vu par » Mengue M'Eyaa #3
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Jean-Christophe Cambadélis rend hommage à Jean Jaurès pour le centenaire de sa mort
Jean-Christophe Cambadélis rend hommage à Jean... par PartiSocialiste -
Arte : Jaurès est vivant !
Cent ans après la mort de Jean Jaurès, nul n'hésite plus aujourd'hui à saluer sa mémoire, et tous les camps politiques s'en réclament -- y compris le Front National ! Cette étrange unanimité occulte la véritable stature du député socialiste de Carmaux et fondateur de « L'Humanité », dont les combats et la pensée ont suscité de son vivant autant de haine que d'enthousiasme. Avec le réalisateur Bernard George, l'historien de la politique Jean-Noël Jeanneney entreprend de les faire revivre dans toute leur force, pour montrer combien ils restent aujourd'hui d'une vibrante actualité. Ce riche portrait biographique et politique se nourrit des écrits et des discours de Jaurès, et d'entretiens avec de fins connaisseurs de l'homme et de son œuvre : les anciens ministres socialistes Robert Badinter et Vincent Peillon, l'historien Michel Winock, la juriste Mireille Delmas-Marty, son actuel successeur à la tête de L'Humanité Patrick Le Hyaric...
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« Jaurès a encore beaucoup à nous dire »
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«Jaurès menait son combat au péril de sa vie»
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H. Védrine : "Le Droit international ne donne pas de solution" par France Inter
H. Védrine : "Le Droit international ne donne... par franceinter -
Hubert Védrine invité d'Interactiv
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Auprès des mineurs de Carmaux, Jean Jaurès entre en socialisme par 20Minutes
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Le dernier article de Jean Jaurès : « Sang froid nécessaire »
Retrouvez le dernier article de Jean Jaurès, paru dans L'Humanité le 31 juillet 1914.
Le contexte
A 21h40, le 31 juillet 1914, deux coups de feu retentissent dans Paris. Deux jours plus tard, en France comme en Allemagne, l’ordre est donné de mobilisation générale. Lorsque Jaurès tombe, assassiné, le dernier espoir des pacifistes français est anéanti. Seul défenseur encore actif en France de l’idée de paix européenne, Jaurès s’est battu jusqu’au bout.
Face à l’engrenage qui s’était mis en branle en juillet 1914, Jaurès avait tendu la main aux socialistes allemands, appelant à la grève générale européenne, sans succès. Cet engrenage se met en marche le 28 juin 1914, avec l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand, prince héritier de l’empire austro-hongrois, à Sarajevo. Vienne, soutenue par l’Allemagne, adresse un ultimatum à la Serbie, dont les courants nationalistes sont présumés responsables de l’assassinat.
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Jean Jaurès l'hommage à Gy-L'Évêque