« Séisme », « tempête », « ouragan », on ne compte plus les métaphores pour évoquer la percée du Front national aux européennes du 25 mai. Arrivé en tête à l'échelle du pays, pour la première fois de son histoire, le parti de Marine Le Pen enverrra 24 eurodéputés au Parlement européen, contre trois lors de la précédente mandature.
Forte abstention, élection particulière, etc. : nombreux sont les arguments qui ont circulé depuis ce «« tsunami » pour relativiser la portée de la performance FN. Faisons le point.
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