Ce billet et trois autres à venir (oui, hélas, trois) sont une version un peu révisée de ce que j’ai présenté au cours d’une conférence organisée le 3 octobre à Namur par une fédération d’organisations et associations environnementales (IEW). Ce thème redoutable m’avait été proposé, et je l’ai imprudemment accepté : peut-on mettre des instruments monétaires, voire des prix, au service de la « préservation » de la nature ? Pour les lecteurs ne souhaitant pas entrer dans la totalité des quatre billets, un résumé en deux pages téléchargeable sera fourni en fin de parcours.
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