Certes, au printemps 2012, les Français ont démocratiquement élu un président de la république issu du Parti socialiste, puis ont démocratiquement donné à la gauche une majorité au Parlement européen.
Cependant, les marchés financiers risquaient de s’inquiéter. Donc, François Hollande a cru bon de les rassurer : certes, la France renégocierait le Traité budgétaire, mais, de toute façon, elle le respecterait : elle limiterait son déficit à 3 % du PIB en 2013, à 2,2 % en 2014 ; elle retournerait à l’équilibre en 2017.
Lire la suite
___________________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________________