En réponse à la récente critique de leurs travaux, Loïc Bonneval et François Robert défendent leur méthode et leurs résultats. Selon eux, non seulement l’idée des effets pervers du contrôle des loyers est à nuancer, mais les incidences négatives de l’absence de régulation du marché de la location privée, qui caractérise la situation actuelle, doivent aussi être soulignées.
La critique adressée par Robert C. Ellickson et David Le Bris à l’article paru en 2011 dans Métropolitiques permet de rouvrir la discussion sur les effets de l’encadrement des loyers, alors même que l’appel de maires d’Île-de-France redonne une actualité à cette question [1].
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