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Public Sénat | Olivier Faure le 15 septembre
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RFI - France: candidat à sa succession à la tête du PS, Olivier Faure veut le rassemblement de la gauche
Candidat à sa propre succession, Olivier Faure, le patron des socialistes français, maintient son appel au rassemblement de la gauche en vue de la prochaine présidentielle de 2022, et juste avant le Congrès du PS.
Olivier Faure a annoncé ce 13 septembre au Journal du dimanche qu'il serait candidat à sa propre succession à la tête du Parti socialiste (PS), lors de son prochain congrès. Pour lui, il s’agit de se mettre d'accord sur un projet commun avec toute la gauche, puis sur un candidat à la présidentielle. Un appel qui pour le moment se heurte aux velléités de candidatures de l'insoumis Jean-Luc Mélenchon et de l'écologiste Yannick Jadot. Olivier Faure les prévient : partir diviser, c'est prendre le risque de disparaître.
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Discours du Premier secrétaire - Conseil National du 13 septembre 2020
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Europe 1 | Olivier Faure le 13 septembre
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PS - Égalité femme-homme : le sexisme est il immortel ?
Atelier animé par Cécilia Gondard, Secrétaire nationale du Parti socialiste à l'égalité femme-homme.
Intervenantes :
- Laurence Rossignol, ancienne ministre, sénatrice de l’Oise-- Nadège Azzaz, maire de Châtillon
- Jocelyne Adriant Metboul, présidente de la CLEF
- Fabienne El Khoury, porte-parole d’Osez le féminisme
Les inégalités et discriminations multiples et systématiques dont les femmes font l’objet dans toutes les sphères de la société sont documentées dans de nombreux rapports, les faits sont têtus: ces dernières subsistent et les droits des femmes font encore trop souvent l'objet de reculs.Pour le Parti socialiste, moteur de grandes avancées pour les droits des femmes en France, il est essentiel de comprendre en quoi le sexisme est un système pour pouvoir le combattre, tout en soutenant les combats dans leur diversité.
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L'actualité de la rentrée
Compte tenu de la crise sanitaire actuelle et de l'incertitude quant à sa durée, Le Festival des idées saison 2 se tiendra les 4, 5 et 6 septembre prochains à trois endroits : à la Charité-sur-Loire, à Paris et en ligne grâce au soutien citoyen apporté via une campagne de financement participatif.Cette crise doit nous permettre de construire le monde d'après. Celui-ci devra être plus juste, écologiste, solidaire et humaniste, confiant dans l'intelligence de notre peuple.La saison 1 du Festival des idées avait entrepris de faire tomber les murs. Pour sa deuxième édition, le Festival veut contribuer à proposer au pays de nouveaux horizons.En mettant en débat des propositions citoyennes, le Festival des idées entend aider à sortir de la panne du politique face aux défis inédits de notre temps.Pour suivre le Festival des idées :Site internet : https://festivaldesidees.org/Twitter : https://twitter.com/festival_idees_________________Libé - En Biélorussie, l'hymne des manifs est une chanson catalane
Chant de ralliement contre la dictature de Franco, "L'Estaca", écrite par le chanteur Lluis Llach en 1968, a accompagné nombre de mouvements populaires, de la Pologne à la Tunisie.
En Biélorussie, lors des manifestations contre la réélection le 9 août du président-dictateur Alexandre Loukachenko, un chant est repris avec ferveur par la foule. Mais ce n’est ni Give peace a chance de John Lennon, ni Bella Ciao, ces classiques des rassemblements militants à travers le monde. L’Estaca a été écrite et enregistrée en 1968 par le chanteur catalan Lluis Llach, et cette parabole sur un pieu fiché dans la terre que des générations de paysans ne parviennent pas à arracher devient rapidement un chant de ralliement des opposants à la dictature du général Franco. En 1979, en Pologne, la chanson prend une signification anticommuniste, quand elle est adoptée comme hymne par le syndicat interdit Solidarnosc. C’est d’ailleurs une traduction en biélorusse de la version polonaise signée Jacek Kaczmarski que chantent les opposants à Loukachenko, les deux adaptations portant le même titre: Mury (les murs).
____________________Nos Lendemains - Emploi, COVID : à quoi va ressembler la rentrée?
Vous connaissez ces soirées d’été, où l’on se prélasse en terrasse, ou au bord d’une piscine en regardant disparaître les derniers rayons du soleil ? Et l’on entend au loin comme un roulement, un bruit sourd qui promet l’orage. On ne sait s’il sera violent, ou s’il passera à côté. Si la pluie creusera les jardins et noiera quelques tentes de vacanciers, ou si elle se contentera d’abîmer quelques plantes et de rafraîchir l’atmosphère. On l’entend arriver, gronder, on s’y prépare…
La situation du pays, en cette fin d’été, a quelque chose de ces soirées d’orage. Nous voyons tous que l’épidémie semble repartir – mais à quelle vitesse, de quelle ampleur sera la vague ? – et que la crise économique va, est même déjà en train de frapper – mais frapper qui ? quels emplois, quelles filières, et comment ? combien de temps ?
_______________Une première bataille idéologique se livre autour de l’interprétation de la crise. D’aucuns s’acharnent à marteler l’idée que « la crise » n’aurait rien à voir avec les transformations du capitalisme mondial depuis cinquante ans. C’est faire fi de la dévastation planétaire due à la déforestation, à l’agriculture intensive, à l’urbanisation extensive, qui explique le développement des zoonoses, maladies provenant de la transmission de l’animal à l’homme. La discussion théorique n’est pas qu’une affaire de sémantique car il en va de la suite à donner : s’il s’agissait d’une crise extérieure à l’évolution du capitalisme, il suffirait de relancer la machine économique après avoir fermé la parenthèse de la pandémie ; s’il s’agit au contraire d’une crise systémique, alors une refondation complète des objectifs et des moyens de l’économie s’impose.
On se doute que la bataille principale porte donc sur le changement de cap à opérer. La revue Les Possibles s’inscrit depuis son origine dans cette perspective. Et la pandémie du coronavirus et la paralysie de l’économie qui s’en est suivie sont l’occasion de préciser un peu mieux ce que serait une transition sociale et écologique pour sortir de la logique mortifère du capitalisme et des dégradations sociales et écologiques engendrées par la poursuite de l’accumulation infinie. Dans les deux numéros précédents des Possibles, nous avions consacré les dossiers à la politique monétaire des banques centrales et à la planification dans la perspective d’une transition. Nous poursuivons ici avec un dossier sur les transformations nécessaires du système productif.
___________________Jamais le développement d’un vaccin n’aura coûté si cher aux contribuables. Ni les recherches sur Ebola, ni celles sur le Sida, n’auront reçu autant de fonds publics dans un laps de temps aussi court. Pourtant, rien n’est fait pour empêcher un accaparement de ces recherches par des intérêts privés. Une enquête du collectif de journalistes Investigate Europe, partenaire de Basta !.
Après presque trois heures de visioconférence, la concentration a quitté l’assistance. Pas moins de 60 premiers ministres, présidents et représentants de familles royales se sont déjà succédé devant leurs webcams. Comme dans un Téléthon VIP, les chefs d’État ont montré qu’ils savaient faire preuve de générosité. Nous sommes lundi 4 mai, à l’heure de la sieste, au cœur de la grande conférence des donateurs, parrainée par l’UE, la Norvège, l’Arabie saoudite, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la France. Objectif : recueillir 7,5 milliards d’euros au profit de la recherche sur le Covid-19 (tests, médicaments, vaccins).
____________________Institut Rousseau - Garantir des traitements dignes aux animaux pour limiter le risque d’épidémie
Le premier cas humain infecté par le Covid-19 a été détecté sur un marché d’animaux vivants destinés à la consommation à Wuhan en Chine le 17 novembre 2019[1]. Malgré l’imprécision sur la source épidémiologique d’origine du Covid-19, les scientifiques s’accordent sur le fait que l’animal est la source et le transmetteur. Le Covid-19 s’ajoute ainsi à la longue série de pandémies transmises des animaux aux hommes. L’Organisation mondiale pour la santé animale (OIE) souligne que les maladies infectieuses zoonotiques provenant des animaux, telles que la peste, la rage ou la tuberculose[2], représentent 60 % des maladies infectieuses humaines déjà existantes et qu’elles croissent. L’OIE estime que « 75 % des agents pathogènes des maladies infectieuses humaines émergentes, notamment Ebola, le VIH et la grippe aviaire, sont d’origine animale ». En effet, les dernières pandémies sanitaires internationales provenant directement des animaux sont nombreuses : le VIH, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, dite maladie de la « vache folle », provenant de l’ESB, les coronavirus, les grippes aviaires (H7N9 et H5N1), la grippe porcine (H1N1) ou encore Ebola.
______________________Non Fiction - Echapper au trou noir
Jean-Marie Harribey, après avoir rappelé les impasses dans lesquelles se trouve le capitalisme, propose un ensemble d’orientations à adopter pour en sortir.
Jean-Marie Harribey (Maître de conférences honoraire en économie et membre des économistes atterrés) a coprésidé de 2006 à 2009 l'association Attac. Il copréside son conseil scientifique depuis 2014. Il a créé et anime aujourd’hui la revue Les Possibles. Il se réclame dans son dernier ouvrage, Le trou noir du capitalisme (le bord de l’eau, 2020), qui est une somme imposante, des travaux de Karl Marx, de Karl Polanyi, de John Maynard Keynes ou encore de Michał Kalecki. Il dresse un tableau critique du capitalisme contemporain et de l'impasse dans laquelle celui-ci se trouve depuis de nombreuses années, et propose un ensemble d’orientations qui constituerait une voie de bifurcation dans laquelle l’humanité devrait s’engager d’urgence, selon lui.
_____________________Fondation Jean Jaurès, Coordination « bouclier anti-Covid » des maires franciliens (COMIF) - Construire la résilience territoriale pour anticiper les chocs à venir, 16/08/2020
Challenges - "EELV prend le risque de se couper définitivement des classes populaires"
Les polémiques estivales qui ont accompagné l'arrivée des écologistes à la tête des grandes villes ont réveillé les fractures sociales françaises. Sans compromis, elles risquent d'enrayer la marche d'EELV vers le pouvoir, selon Chloé Morin, directrice de l'Observatoire de l'opinion à la Fondation Jean-Jaurès.
______________Nos Lendemains - Piolle / Jadot : le match pour 2022
Une photo marque déjà cette rentrée politique : celle d’Éric Piolle, le maire EELV de Grenoble, largement réélu et qui a fait estrade commune, hier, avec Jean-Luc Mélenchon, lors des Amphis d’été de la France Insoumise à Châteauneuf -sur-Isère, dans la Drôme.
Une complicité évidente entre les deux hommes, qui tranche avec le discours des écologistes, globalement opposés à la France Insoumise et à son leader.
Pendant ce temps, à Pantin, Yannick Jadot, lui, lançait sa grande offensive pour la présidentielle. Même si elle ne dit pas son nom, l’eurodéputé qui se rêve en candidat pour 2022, demande à son parti d’accélérer la désignation de son candidat en interne pour boucler le processus en début d’année prochaine.
_____________________Le Vent se lève - Simone Weil : « La vie et la grève des ouvriers métallos »
En mai 1936, le Front Populaire composé des socialistes (SFIO), communistes (SFIC) et des radicaux, remporte les élections. Aussitôt, les usines sont occupées, la classe ouvrière triomphe. Les premières réformes sociales sont engagées et les accords Matignon sont signés dans la nuit du 7 au 8 juin. Mais l’activité tarde à reprendre. Simone Weil, philosophe partie s’établir en usine, fait le récit de ces grèves dans le numéro 224 de la revue syndicaliste et communiste La Révolution prolétarienne. Pour notre collection « Les grands textes », nous reproduisons des extraits de son article du 10 juin 1936.
_______________________Huffington Post - La mort de Philippe Frémeaux provoque une pluie d'hommages chez les politiques
Ex-rédacteur en chef d'Alternatives économiques, le journaliste collaborait également à France info et France culture.
Triste journée pour les habitués de la presse économique. Ce lundi 3 août, plusieurs personnalités politiques ont fait part du décès de Philippe Frémeaux, journaliste et éditorialiste, ex-rédacteur en chef du mensuel Alternatives économiques, à l’âge de 70 ans.
Olivia Grégoire, nommée récemment secrétaire d’État à l’économie sociale et solidaire, a rendu hommage à cette figure de la discipline. “Philippe Frémeaux était un journaliste de grand talent que je lisais avec passion depuis de nombreuses années. Par sa pensée aguerrie et exigeante, il a très largement contribué à éclairer le débat public sur l’économie sociale et solidaire”, a tweeté la ministre.
___________________Bernard Stiegler a découvert la philosophie en prison, et depuis, n'a eu de cesse de la transmettre, dans des ouvrages ou dans la création d'une école de philosophie : "Pharmakon". Spécialiste de la technique, il questionne les enjeux des mutations de nos sociétés engendrées par le numérique.
Etre philosophe, est-ce un métier ? est-ce une vocation ? Comment se fabrique un concept ? Et quel est le rôle du philosophe dans la cité ?
Bernard Stiegler est le fondateur d’un groupe de réflexion philosophique créé en 2005 : Ars industrialis, dans lequel il en appelle à une nouvelle manière de penser notre rapport à la technique et en particulier aujourd’hui aux algorithmes. Depuis 2006 il dirige l’Institut de recherche et d’innovation qu’il a créé au Centre Pompidou ainsi que l’école de philosophie d’Epineuil, Pharmakon, qui offre des cours de philosophie à suivre sur place ou en ligne. Il a écrit 35 livres et le dernier en date s’appelle Bifurquer (éditions des Liens qui libèrent).
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Parti Socialiste - Rentrée scolaire 2020-2021 : relever le défi des inégalités - Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste Yannick Trigance, secr
En ce jour de rentrée pour les enseignants, le Parti socialiste salue l’engagement des équipes éducatives et des collectivités locales dans un contexte sanitaire tout à fait inédit et une gestion ministérielle anxiogène.
Les décisions du ministre Blanquer sont, la plupart du temps, prises sans concertation et au dernier moment, plaçant les enseignants, les parents et les élus devant le fait accompli.
Le refus du gouvernement de fournir les masques gratuitement aux familles, tandis que nos voisins grecs ou italiens le font dès lors que le masque est obligatoire, a contraint nos collectivités les plus pauvres à pallier les choix gouvernementaux.
Au-delà, le Parti socialiste tient à rappeler que l’aggravation des inégalités pendant le confinement ne peut rester sans réponse sous peine de pénaliser plus encore les enfants issus des familles les plus modestes.
Il convient pour cela de s’attaquer résolument au traitement de la difficulté scolaire et nous avons, dès le mois de juin, à travers notre plan de rebond pour l’école, posé dans le débat de nombreuses propositions : renforcement du réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté, différenciation pédagogique au sein des classes pour mieux suivre les élèves selon leur niveau, sécurisation du statut et de la formation continue des AESH auprès des élèves porteurs de handicap, renforcement des moyens alloués aux Rep et Rep+...
Le Parti socialiste appelle en particulier l’attention sur la situation du second degré. Le gouvernement a fait voter la suppression de 440 emplois alors qu’il faudra accueillir 30 000 élèves supplémentaires dans le secondaire. Il conviendrait à l’inverse de donner des moyens au second degré – enseignement général et professionnel - d’accueillir ce surcroît de collégiens et de lycéens en ouvrant des postes en conséquence aux concours de recrutement.
Le « Grenelle des professeurs » annoncé par le ministre Blanquer ne doit pas être une énième manœuvre dilatoire mais l’occasion de revaloriser les carrières et les salaires des personnels de l’Éducation nationale. Plus que jamais, les enseignants ont besoin de travailler dans un environnement sécurisé et reconnaissant, à la hauteur de leur niveau de qualification et de leur responsabilité sociale.
La promesse d’une loi de programmation pluriannuelle sur la période 2022-2026 devra être tenue, et le montant des enveloppes discuté avec les partenaires sociaux. Enfin l’introduction d’une prime d’équipement, versée tous les 4 ans, pour permettre aux enseignants d’acquérir le matériel et les outils nécessaires à l’exercice de leurs missions, est aujourd’hui plus que jamais d’actualité.
Tout n’est certes pas réductible à une question de moyens, mais sans moyens suffisants, c’est la meilleure façon de faire échouer les élèves, notamment ceux qui décrochent ou ont de réelles difficultés à suivre en classe et alors que certains élèves vont reprendre demain le chemin de l’école après une rupture de 6 mois.- 1er septembre 2020
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Le JDD - Régionales : en Auvergne-Rhône-Alpes, Verts et PS pas d'accord sur la façon de battre Laurent Wauquiez
En Auvergne-Rhône-Alpes, les écologistes veulent un candidat au premier tour des régionales de mars prochain, tandis que les socialistes plaident pour une alliance contre Laurent Wauquiez d'emblée.
En Région Auvergne-Rhône-Alpes, socialistes et écologistes n'ont qu'une idée en tête : battre le président sortant, Laurent Wauquiez, aux élections régionales de mars 2021. Une Région qu'ils regardent avec les yeux de Chimène, et qui pourrait devenir un symbole. "Cette campagne peut devenir un laboratoire pour la présidentielle", estime un influent socialiste. Les écologistes pensent leur heure venue. Selon nos informations, la candidate d'EELV sera très probablement Maud Tavel, adjointe d'Éric Piolle, le maire de Grenoble. Tavel devrait bientôt dévoiler à ses camarades ses ambitions. Du côté de Grenoble comme du côté de Lyon ville conquise par l'écologiste Gregory Doucet aux municipales, son nom fait déjà "consensus", selon un Vert local.
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Lionel Jospin : "Une gauche écologique aurait une chance d'être au second tour" de la présidentielle
L'ancien Premier ministre Lionel Jospin est l'invité du Grand Entretien de Léa Salamé et Nicolas Demorand. Il signe "Un temps troublé" aux éditions du Seuil.
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Le PS à Blois
France 3 - Depuis Blois, Olivier Faure répond au "frondeur" François Hollande
Absent de l'université du PS, l'ancien président de la République a, depuis Saint-Malo, appelé à une reconstruction du parti socialiste, qui "ne peut pas rester dans l'état où il est".
L'université d'été 2020, organisée à Blois, devait symboliser la "renaissance" d'un Parti socialiste réuni et purifié de ses guerres de chefs. Mais l'absence d'un certain nombre de personnalités de gauche, comme la plupart des membres du gouvernement Hollande ou les hamonistes, a été remarquée.
La Croix - Le PS s’engage pour un « bloc social et écologique »
Analyse
Le premier secrétaire Olivier Faure a plaidé en faveur de candidats communs de la gauche aux élections régionales et départementales de 2021, puis à l’élection présidentielle de 2022.
France Culture - Le PS à Blois, la caravane passe
Plusieurs partenaires de gauche ont rendu visite aux universités d'été du Parti socialiste, ce week-end, pour promouvoir un "rassemblement" en vue de 2022.
Que de visites, à l'université d'été du Parti socialiste. Quasiment une caravane d'invités, avec notamment le passage des écologistes Yannick Jadot et Eric Piolle. En quelque sorte, le PS à Blois, la caravane passe.
Huffington Post - Université d'été du PS: Olivier Faure au défi de convaincre les "boomers" du parti
Plusieurs ténors du parti socialiste ne sont pas convaincus par la stratégie d'alliance imaginée par le premier secrétaire du parti.
C’est un terme que le premier secrétaire du Parti socialiste répète à chaque interview: “rassembler”. Unir la gauche en vue de l’élection présidentielle de 2022 afin de ne pas laisser s’installer le duel annoncé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Et pour y parvenir, Olivier Faure plaide pour que les autres formations -écologistes en tête- s’allient “avec” le PS, et non plus “derrière” le parti à la rose, comme c’était le cas par le passé.
Lors de la conclusion du séminaire des élus - qui précède l'université d'été - François Rebsamen, maire de Dijon, a lourdement mis en cause la stratégie «d'ouverture à gauche» du chef du PS, Olivier Faure. Ce dernier lui a répondu, sur le même ton.
Chez les socialistes, le week-end risque d'être vif. Réunis à Blois (Loir-et-Cher) pour leurs universités d'été, les cadres du parti sont parvenus à s'écharper... avant même le début officiel de l'événement. Tout est parti du discours vendredi midi de François Resbsamen, le maire de Dijon et également président de la fédération des élus socialistes (FNSER). Il concluait le traditionnel séminaire des élus qui a lieu avant chaque université d'été du parti.
POLITIQUE « Seul le rassemblement permettra de gagner en 2022, d’empêcher un nouveau duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen », a affirmé Olivier Faure, le patron des socialistes
Les socialistes font leur rentrée. Revigoré par ses bons résultats aux municipales, le Parti socialiste se retrouve à partir de vendredi à Blois pour trois journées de débats et de rencontres destinées à promouvoir un projet commun de la gauche en vue de la présidentielle.
Plus de 70 animations (tables rondes, débats, mais aussi concert, spectacle son et lumière…) jalonneront ces rendez-vous destinés à marquer « le premier pas » vers le retour espéré de la gauche et des écologistes au pouvoir en 2022.
L'université d'été du PS se tient à Blois à partir de ce vendredi 28 août. Les socialistes espèrent une rentrée politique sous le signe de la renaissance. C'est l'occasion de retrouver sa légitimité en tant que principal parti de gauche après 3 ans de crise et des municipales satisfaisantes.
Elle se tient d'habitude à La Rochelle, mais cette année l'université d'été du PS a lieu à Blois, au coeur du Loir-et-Cher. C'est là que le parti socialiste a donné rendez-vous à "la gauche d'après", dont il se voit toujours comme le moteur naturel. Le choix de Blois ne doit d'ailleurs rien au hasard, tant sur le plan politique que symbolique : son maire, Marc Gricourt, entame en 2020 son troisième mandat après sa réélection dès le premier tour juste avant le confinement, à la tête d'un rassemblement de la gauche blésoise.
La Nouvelle République - Université d'été du PS : la "gauche d'après" est à Blois
Elle n’est pas si lointaine, l’époque où à chaque rentrée les « éléphants » du Parti socialiste affichaient leurs ambitions personnelles et étalaient leurs divisions sur les quais de La Rochelle. Une période révolue. Le PS, qui ne possède plus guère de pachydermes dans sa ménagerie et qui a bien maigri ces dernières années, veut tourner la page. Ces jours-ci, du 28 au 30 août, c’est dans une ambiance moins maritime et beaucoup plus modeste qu’il organise son université d’été à Blois.
Le Monde - Le Parti socialiste fait faux bond à La Rochelle
L’université d’été du Parti socialiste avait été inaugurée à La Rochelle en 1993. Cette année, le parti à la rose a préféré se réunir du 28 au 30 août à Blois, plus représentative d’une union de la gauche que la ville de la Charente-Maritime.
France Inter - Présidentielle : les anciens du PS se rebiffent
Ouverture de l'Université du PS à Blois et des hostilités entre tenants d'une alliance élargie à gauche et défenseurs de l'héritage socialiste. Le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, est accusé notamment par les amis de François Hollande de vouloir brader le parti aux écologistes d'EELV.
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Le Figaro - Le PS doit «s'emparer de l'écologie» et ne pas se rallier à Jean-Luc Mélenchon, dit François Hollande
«Je peux être utile à mon pays, par mes idées et mon expérience, dans la crise qu'il traverse», dit l'ancien président tout en assurant «ne rien chercher pour lui-même».
François Hollande estime que le Parti socialiste «a le devoir» d'être «la force centrale» à gauche, et ne doit «se rallier» ni à une candidature écologiste, ni à Jean-Luc Mélenchon pour 2022, dans un entretien à Ouest-France publié samedi 29 août.
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