Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

olivier faure - Page 55

  • Libé - Olivier Faure, rose sans épines

    Ce n’était pas vraiment l’idée de départ. Gamin, Olivier Faure avait d’autres perspectives. Un jour médecin, un autre avocat, le lendemain photographe ou dessinateur de BD. Devenu grand, il postule désormais au poste de Premier secrétaire du PS. Un job qui ne fait pas rêver. Le parti traverse une période de turbulences qui remet en cause jusqu’à son existence. La fin d’un cycle entamé au congrès d’Epinay en 1971. Le député de Seine-et-Marne refuse d’y croire. Favori du scrutin, face à Luc Carvounas, Stéphane Le Foll et Emmanuel Maurel, il se dit «en mission», persuadé que le soleil brillera de nouveau au pays de Jean Jaurès et Léon Blum. A condition de dépasser les rancœurs internes.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • L'actualité des socialistes du 23 février au 1er mars

    A LA UNE

    Le Vent se lève - « Les socialistes en sont venus à s’accommoder du libéralisme par petites touches » – Entretien avec Frédéric Sawicki

    Le 15 mars prochain, les militants sont invités à se prononcer sur les textes d’orientation du Parti socialiste, avant de déterminer le 29 mars qui de Stéphane Le Foll, Luc Carvounas, Emmanuel Maurel et Olivier Faure en deviendra le premier secrétaire. Un peu moins d’un an après l’échec de Benoît Hamon à l’élection présidentielle, où en est le PS ? Pour en savoir plus, nous avons interrogé Frédéric Sawicki, professeur de science politique à l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, auteur de plusieurs ouvrages de référence sur les socialistes français.

    ITALIE

    Terra Nova - L'Italie à l'épreuve des élections

    Le 4 mars prochain, les Italiens éliront leurs sénateurs et leurs députés. Cette élection viendra ponctuer un long cycle d'échéances politiques décisives en Europe, depuis le referendum sur le Brexit en 2016 aux élections catalanes fin 2017, en passant par les élections législatives en Allemagne. Dans cette longue liste, le rendez-vous italien fait figure de dernier grand « risque politique » au sein de l'Union. Les électeurs italiens vont-ils contribuer au rétablissement de la confiance en Europe ou paralyser leur pays ? Avec cette élection, les Italiens parviendront-ils à s'extraire de leurs débats internes et à revenir sur la scène européenne ? Marc Lazar, spécialiste de la vie politique italienne et professeur d'histoire et de sociologie politique à Sciences Po, a analysé pour Terra Nova les enjeux de ce scrutin à venir.

    POPULISME

    Le Vent se lève - Íñigo Errejón : « Les peuples ne veulent pas faire la révolution tous les jours »

    Le Vent Se Lève a traduit l’intervention d’Íñigo Errejón au forum pour la construction d’une nouvelle majorité populaire qui a eu lieu en Argentine le 26 août 2017. L’intellectuel de Podemos y aborde beaucoup de thèmes : ce qu’est une construction hégémonique ; ce que signifie perdre les élections ; la façon dont les élites s’emparent de l’État ; et le rôle du militant qui doit rester connecté au sens commun. Il s’agit d’une contribution importante à la réflexion politique et stratégique.

    LES INNOVATIONS LOCALES

    Le Courrier des maires - Vers un nouvel âge du « socialisme municipal » ?

    Chargé d'animer le débat d'idées à gauche, la Fondation Jean-Jaurès a mis sur pied un Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales (OEIL). Objectif : documenter des pratiques territoriales émergentes et pousser les élus socialistes à réfléchir au pouvoir d'agir citoyen ou encore l'expérimentation locale – sujets des deux premières notes publiées par cet Observatoire. Dijon (photo) en tant que smart city fera l'objet d'une prochaine étude.

    METIERS

    Jean Gadrey - Les métiers qui devraient créer le plus d’emplois dans les 10 ans aux États-Unis et en France : de quoi relativiser la grande peur des robots

    Tous les deux ans, aux États-Unis, le BLS (Bureau of Labor Statistics) fournit des projections d’emplois à dix ans selon les métiers. Je m’y intéresse depuis les années 1990 et elles se sont révélées assez fiables, au moins pour leurs prévisions sur ceux des métiers (« occupations » en anglais) qui sont appelés à croître le plus et le moins. Il y a d’ailleurs des tendances lourdes assez semblables depuis une trentaine d’années. Pour les personnes très courageuses qui s’interrogeraient sur la méthode, les hypothèses (certaines sont discutables mais pas déraisonnables) et les sources, voir cet article très complet.

    FISCALITE

    Libé - La progressivité de l’impôt, sujet secondaire, Par Bruno Amable, professeur à l’université de Genève

    Une lutte efficace contre les inégalités croissantes dans nos sociétés ne passe pas uniquement par une fiscalité progressive mais aussi par la fourniture de prestations sociales et de services publics de qualité.

    L’augmentation des inégalités est devenue un thème central de la réflexion des économistes et une préoccupation importante des populations concernées. La question de la réduction des inégalités est souvent posée en lien avec celle de la redistribution des revenus, que celle-ci prenne la forme de transferts directs vers certaines catégories de population, ou la fourniture de services publics. Cette question est elle-même liée à celle de la fiscalité, à la fois en ce qui concerne le montant des recettes fiscales, qui indique ce qu’il est possible de redistribuer, et le profil de l’imposition, qui détermine les contributions relatives, positives ou négatives, de chacun à la redistribution en fonction de ses revenus.

    BUDGET 2018

    OFCE - BUDGET 2018 : PAS D'AUSTÉRITÉ MAIS DES INÉGALITÉS

    L’objectif de cette étude est de fournir un panorama exhaustif du budget 2018, tant en analysant le détail des mesures votées, leur montée en charge et leur impact macroéconomique sur la croissance et le pouvoir d’achat des ménages en 2018 et 2019 qu’en évaluant leurs effets redistributifs selon le niveau de vie des ménages.Les évaluations portent à la fois sur les nouvelles mesures fiscales et budgétaires issues de la Loi de finance mais aussi celles décidées par la précédente majorité ayant unim pact en 2018-2019. À cela s’ajoutent les mesures entrées en application avant 2018 mais dont les effets économiques peuvent être différés ou évoluer au cours du temps.

    SONDAGES

    Centre d'Observation de la Société - Le sondage, un mauvais outil pour comprendre la société

    Depuis leur introduction à la fin des années 1930 en France, et surtout leur application à partir du milieu des années 1960 au cas électoral, les sondages ont pris une place croissante dans le débat public. Pas un jour ne passe sans qu’un média ne rende compte d’une enquête. Les sondages partent d’un principe d’économie : observer une partie d’un ensemble permet, en extrapolant, de porter un regard global. La plupart des enquêtes d’opinion sont réalisées par des entreprises privées à des fins commerciales pour anticiper les ventes d’un produit et ne sont pas connues du grand public. De plus en plus d’enquêtes sont rendues publiques et commandées pour leur médiatisation par un groupe de pression, un « think-tank », une institution ou un média lui-même. Que valent ces sondages? Pas grand-chose sur le fond. La question qui se pose est surtout la croyance collective dans la valeur de l’outil.

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Les classes sociales : permanence et renouveau

    Les classes sociales n’ont pas disparu. Elles se sont recomposées et restent une clé de lecture essentielle des inégalités. Une analyse de Julien Damon, sociologue, extraite du site Telos.

    La communauté des sciences sociales s’agite régulièrement autour des classes sociales. Au tournant de ce siècle, des experts ont publié leur acte de décès. D’autres ont signalé leur retour.

    Le concept a été élaboré et discuté par des auteurs aussi éminents que Karl Marx et Max Weber, dans une société industrielle alors clivée entre groupes sociaux relativement homogènes, conscients de leurs différences et de leurs intérêts respectifs. La fin de ces classes sociales est en réalité annoncée ou prophétisée depuis des décennies, voire depuis que leur existence a été attestée en ces termes. Une fin annoncée, car elles n’existeraient plus vraiment dans des structures sociales plus centrées autour d’une vaste classe moyenne. Une fin prophétisée, car la lutte des classes aboutirait à leur disparition.

    La Vie des Idées - Pourquoi rejeter les inégalités ?

    À propos de : T. M. Scanlon, Why Does Inequality Matter ? Oxford UP

    Pour Thomas Scanlon, l’égalité n’est pas une valeur politique en soi. C’est bien plutôt parce que nous souffrons des inégalités économiques que nous lui sommes attachés. Mais peut-on fonder un idéal politique uniquement sur des objections ?

    Pour Thomas Scanlon, nos raisons de nous soucier des inégalités économiques ne relèvent pas d’une volonté de défendre une valeur politique intrinsèque, l’égalité : elles correspondent plutôt à nos objections contre les inégalités dont nous souffrons. Mais peut-on fonder un idéal politique uniquement sur des objections ?

    Observatoire des inégalités - Inégalités : comment expliquer l’hypocrisie de la gauche ?

    « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ». La bourgeoisie culturelle s’enflamme de façon aussi ardente qu’hypocrite contre les inégalités. Au fond, elle n’a pas grand-chose à faire des catégories populaires. Comment expliquer cette situation ? Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    Le débat sur les inégalités en France est marqué par une profonde hypocrisie. Les grandes envolées lyriques, souvent à gauche de l’échiquier politique, cachent mal une indifférence au sort des catégories populaires [1]. Il ne suffit pas de dénoncer ce grand écart entre les discours et les actes, il faut aussi essayer d’en comprendre les raisons.

    « Voulons-nous vraiment l’égalité ? » s’interrogeait en 2015 le philosophe – et président de l’Observatoire des inégalités – Patrick Savidan [2]. Qui est ce « nous » ? Certainement pas les « libéraux-conservateurs » qui, fidèles à leur idéologie, estiment que la liberté prime sur tout et que l’égalité est au fond un sous-produit. Bien davantage les « progressistes » qui affirment que, sans l’égalité, la liberté ne peut se construire.

    KEYNES

    Alternatives Economiques - Que faudra-t-il pour que les keynésiens abandonnent ? Des arguments solides !

    Avec son sens habituel de la provocation, Patrick Artus, l’économiste en chef de Natixis, vient de publier une petite note intitulée « Que faudra-t-il pour que les keynésiens abandonnent ? ». Suivent trois séries d’arguments, censés démontrer que la France est une économie où la demande ne peut plus jouer aucun rôle positif. Mais ils sont loin d’être convaincants.

    L’argument du taux de chômage naturel

    Premier argument, la France est proche du taux de chômage structurel, celui à partir duquel toute demande supplémentaire de main-d’œuvre n’aboutit pas, faute de gens formés, et se traduit par des hausses des salaires et des prix. Mettez plus de demande, nous dit Patrick Artus, et vous aurez plus d’inflation et pas moins de chômage.

    FONCTIONNAIRES

    Jean-Marie Harribey - 120 000 fonctionnaires priés de partir… où ?

    Le 1er février 2018, le gouvernement a annoncé son intention de réformer de fond en comble la fonction publique, notamment en supprimant 120 000 emplois publics d’ici la fin du quinquennat. Au nom de la baisse des dépenses publiques de 3 points de PIB, d’une « gestion contemporaine » de l’action publique et d’une réorganisation « comme le font les entreprises », dixit le président.

    CHRISTOPHE GUILLUY

    Telos - Le mythe des « deux France »

    L’idée que la France est coupée en deux et que le clivage social se superpose à un clivage géographique, opposant la France des métropoles à la « France périphérique », est solidement ancrée dans l’opinion. C’est pourtant, à ce degré de généralité, une idée fausse.

    Je l’avais déjà écrit dans Telos en rendant compte des ouvrages de Christophe Guilluy qui a popularisé ces thèses. Pour le faire je m’étais appuyé sur une série de travaux de géographes et d’économistes publiés dans la très bonne revue de l’Insee Economie et statistique, notamment un numéro consacré en 2008 aux « disparités territoriales ». Il se trouve que cette revue récidive, presque dix ans après, en publiant un numéro spécial consacré aux « Régions et territoires »

    LA CROISSANCE

    OFCE - La croissance française en 2018-2019 : ce qu’en disent les prévisionnistes …Par Sabine Le Bayon et Christine Rifflart

    Alors que l’INSEE vient de publier la première version des comptes du quatrième trimestre 2017 et donc une première estimation de la croissance annuelle, nous nous interrogeons sur les perspectives 2018 et 2019 à travers une analyse comparative des prévisions réalisées sur la France par 18 instituts (publics et privés, dont l’OFCE), entre septembre et décembre 2017. Ce billet de blog présente les points saillants de cette analyse, détaillée dans le Policy brief de l’OFCE (n° 32 du 8 février 2018), intitulé « Une comparaison des prévisions macroéconomiques sur la France », et le document de travail (n° 06-2018) associé (où figurent les tableaux des prévisions par institut).

    OFCE - L’indicateur avancé : l’amarre est haute

    La publication ce jour des enquêtes de conjoncture dans les différentes branches confirme l’optimisme des chefs d’entreprise interrogés par l’INSEE en février (graphique 1). Le climat général des affaires reste dans une zone comprise entre son niveau de la fin 2007 et son pic de rebond de début 2011. Depuis deux mois consécutifs, le climat est toutefois en repli, sous l’effet en particulier d’un optimisme moindre dans les services.

    CAMBADELIS

    Telos - Le rassemblement de la gauche ou le rêve éveillé de Jean-Christophe Cambadélis, Gérard Grunberg

    Jean-Christophe Cambadélis, dans un long entretien accordé au journal Le Monde paru le 6 février, livre sa vision de la stratégie que devrait adopter le Parti socialiste pour revenir dans le jeu : une ligne d’autonomie au sein d’une gauche non alignée (Le Monde précise « sur Macron ou sur Mélenchon »). Il estime que « le socialisme, dans les conditions politiques actuelles, n’est qu’une partie de la gauche et qu’il doit impérativement se renouveler dans un ensemble plus large ». L’adversaire commun des « progressistes » n’est-il pas d’abord, en effet, « le marché libéral parce qu’il ne fait pas société ? » et celui qui l’incarne, Emmanuel Macron ? Il propose au niveau européen la création d’un « rassemblement large allant de Schulz à Tsipras ».

  • Le JDD - Olivier Faure, favori pour la tête du PS : "Il faut tout changer ou mourir"

    Avant le premier tour du scrutin, le 15 mars prochain, Olivier Faure, le favori pour prendre la tête du Parti socialiste, poursuit son tour de France des fédérations. Sans faire de vagues.

    Est-ce parce qu'il est le favori dans la course pour prendre la tête du PS, ou est-ce sa nature flegmatique qui pousse Olivier Faure à ne pas s'abîmer en ne répliquant pas directement aux reproches que lui adressent ses concurrents? Mieux, il aime les citer. Dire que sur tel point, comme l'agroécologie par exemple, il peut être d'accord avec Stéphane Le Foll, sur tel autre – la laïcité – avec Emmanuel Maurel, et sur les services publics avec Luc Carvounas. A 49 ans, avec une campagne placée sous le signe du rassemblement, Faure fait figure de recolleur de morceaux dans un parti en miettes.

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • Organisation du parti : le texte d’Olivier Faure

     

    Le Parti de notre renaissance

    Le congrès d’Aubervilliers sera historique : il déterminera si notre parti doit renaitre ou disparaitre. En rassemblant toutes les générations, toutes les histoires et tous les territoires de notre parti, Olivier Faure, 1er signataire de la Motion 3, est candidat pour conduire la renaissance des socialistes. Ce dépassement de tous les vieux clivages est la prémisse d’une nouvelle aventure collective.

    Nous voulons bâtir une nouvelle maison commune : un parti-plateforme, parti des solutions

    Si nous voulons donner une suite à notre histoire, nous devons profondément changer et construire une nouvelle maison commune.

    Fraternel. Le respect doit prévaloir : respect des règles collectives, du débat, du vote. La camaraderie doit revenir et cela dès notre congrès. Le travail doit primer : être un élu ou un responsable du PS est un engagement, pas un privilège. Le premier des changements, c’est celui des comportements et l’exemple doit venir d’en haut.

    Décentralisé. Avec une plus grande liberté d’organisation et d’initiative pour les sections et fédérations. Avec une valorisation de notre ancrage local et des expériences menées dans les territoires, socles de notre renaissance. Avec une prise en compte des enjeux spécifiques des territoires ultramarins et des Français de l’étranger. Avec des camarades tirés au sort pour être associés aux instances nationales débattant d’une thématique. Avec la mobilisation du Parti en vue des européennes de 2019 et des municipales de 2020.

    Digital. Une plateforme numérique dynamisera les échanges entre socialistes, mais aussi avec les citoyens, les intellectuels, les acteurs du mouvement social, les partenaires sociaux, les autres forces de gauche réformiste. Le vote numérique et les consultations en ligne seront développés.

    Au travail. Engageons plusieurs dizaines de chantiers sur des questions précises, animés par des équipes paritaires, ouverts à la société, collaboratifs, conclus par un vote des adhérents.

    Ouvert. Aux adhérents, militants, citoyens qui ne se reconnaissent pas dans les offres politiques actuelles et qui attendent une alternative. Une campagne nationale d’adhésion et de participation citoyenne sera lancée. Renouvellement des équipes, féminisation et diversité sont des enjeux cruciaux.

    Féministe. Un secrétariat national à l’égalité femmes-hommes sera placé auprès du Premier secrétaire. Des actions de formation et de sensibilisation seront engagées pour lutter contre le sexisme et les violences faites aux femmes. L’accès des femmes aux fonctions internes les plus stratégiques du parti sera concrétisé.

    Un congrès statutaire fixera les principes d’un nouvel agir ensemble, d’une nouvelle démocratie : conditions d’adhésion (militants et sympathisants), non cumul dans le temps des responsabilités, référendum d’initiative militante, nouvelles modalités de la primaire (avec un corps électoral composé des adhérents et citoyens ayant accompagné pendant trois ans la reconstruction par leurs idées et leurs votes).

    Nous voulons un congrès d’affirmation de l’identité et de l’utilité des socialistes

    Nous n’avons pas été remplacés, le socialisme n’a pas été remplacé. Ni en France ni ailleurs, aucune des visions du monde qui prétendent lui succéder – libéralisme autoritaire, populisme protestataire, nationalisme identitaire – ne constitue un substitut aux objectifs et aux réponses socialistes. Nos valeurs, celles de la République et du socialisme, n’ont jamais été aussi actuelles, réaffirmons-les : liberté, égalité, fraternité, laïcité ; émancipation des individus, lutte contre les inégalités, combat pour l’écologie et pour la démocratie, engagement européen et internationaliste.

    Pour renaître, il faut tirer les leçons de notre expérience au pouvoir. Avant fin 2018, une Convention nationale traitera de notre bilan. Rigoureuse, la démarche permettra un débat serein et utile à la refondation du PS.

    Dans ce quinquennat, et face à ce pouvoir, nous sommes l’opposition de gauche responsable. En France, il y a un gouvernement qui n’est pas de gauche et une gauche qui n’est pas de gouvernement : socialistes, nous sommes la gauche de gouvernement.

    Le clivage gauche-droite est essentiel à notre démocratie. Prétendre qu’une politique puisse être « et de droite et de gauche » crée de la résignation et nourrit les populismes. De même, substituer au clivage gauche-droite l’opposition peuples-élites comme le fait J-L. Mélenchon est dangereux : cette approche divise la nation et affaiblit le mouvement social. Notre devoir est de le dire.

    Nous voulons construire la gauche de demain. Parlons aux Français déçus, partis marcher ou déclarer leur insoumission, mais aussi devenus abstentionnistes. Partageons des projets avec les forces en mouvement dans la société. Réconcilions et rassemblons des gauches que certains voudraient séparer. Affirmons en toute autonomie qui nous sommes – l’opposition de gauche responsable – et ce que nous voulons – incarner l’alternative au pouvoir.

  • Orange - Parti socialiste : les quatre candidats à la direction du PS débattront le 7 mars

    Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel ont tous accepté le principe du débat télévisé, après de longues négociations. Il aura lieu le 7 mars.   

    Les quatre candidats au poste de premier secrétaire du PS - Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel - débattront le 7 mars, a annoncé vendredi 23 février le PS dans un communiqué.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • PS: Vallaud apporte son soutien à Faure pour le poste de premier secrétaire

    Boris Vallaud, porte-parole du groupe Nouvelle gauche à l'Assemblée, a apporté son soutien à Olivier Faure pour le poste de premier secrétaire du PS. Il a notamment salué sa capacité à rassembler et à "tisser des compromis".

  • Le Parisien - Présidence du PS : Olivier Faure tient la corde

    Il est rarement confortable de faire la course en tête. Olivier Faure est en train d’en prendre conscience… Voilà plusieurs jours que le candidat à la tête du PS, drapé dans des habits de favori précaires, subit un feu nourri de critiques de la part de ses concurrents. Entre tacles bien sentis et coups bas dissimulés.

    « Le procès qui va m’être fait, c’est de rassembler trop large », a voulu déminer l’élu de Seine-et-Marne lundi soir, lors d’une réunion publique parisienne devant une grosse centaine de militants (la presse avait été conviée), dans un bar de Belleville.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Polémique. Olivier Faure, candidat à la tête du Parti Socialiste, réagit sur le départ de sa femme de l’Elysée

    La présence de la compagne d'Olivier Faure à l'Elysée fait polémique. Alors que Soria Blatmann démissionne pour d'autres fonctions, le député fait une mise au point.

    La polémique ne cesse de se répandre depuis le dimanche 4 février.

    Sur les réseaux sociaux, les soutiens comme les cancaniers commentent allègrement cette information rapportée par le journal Le Point. Soria Blatmann, l’épouse d’Olivier Faure, quitte son poste de conseillère des droits de l’homme à l’Elysée pour rejoindre Audrey Azoulay, la directrice de l’UNESCO. Une annonce qui serait sans doute passée inaperçue si le député socialiste de la circonscription Sénart-Le Mée n’avait pas été candidat au poste de premier secrétaire du PS.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • TV5monde - PS: Faure veut en finir avec la primaire ouverte

    Olivier Faure entend, s'il prend la tête du PS, en finir avec la primaire ouverte pour désigner le candidat du parti à la présidentielle, en restreignant le corps électoral à ceux qui auront pris part à la construction du projet du PS d'ici-là.

    "Je souhaite que le corps électoral, que ceux qui participent au vote des primaires, ce soit ceux qui pendant trois ans auront accompagné la reconstruction de la gauche", a affirmé dimanche à Pantin (Seine-Saint-Denis) le président du groupe PS à l'Assemblée, au lendemain du lancement de la campagne pour le poste de premier secrétaire.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • L'actualité des socialistes du 19 au 27 janvier (Mise à jour)

    DERNIERE HEURE

    Le JDD - Carvounas, Faure, Le Foll, Maurel… Qui sera le prochain patron du PS?

    Quatre hommes - Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel - sont officiellement candidats au poste de premier secrétaire du PS, Julien Dray n'ayant finalement pas présenté de candidature et celle de Delphine Batho ayant été rejetée.

    Le Monde - Congrès du PS : quatre hommes en lice, le texte de Delphine Batho recalé

    Quatre hommes brigueront la tête du Parti socialiste lors du 78e congrès : Emmanuel Maurel, Luc Carvounas, Olivier Faure et Stéphane Le Foll.

    Pas de surprise. Le Conseil national (CN) du Parti socialiste (PS), réuni à Paris samedi 27 janvier, a validé quatre textes d’orientation dans le cadre de son 78e congrès qui devra désigner le nouveau premier secrétaire. Il s’agit de ceux de Luc Carvounas (« Un progrès partagé pour faire gagner la gauche ») ; de Stéphane Le Foll (« Cher.e.s camarades ») ; d’Olivier Faure (« Socialistes, le chemin de la renaissance ») et celui d’Emmanuel Maurel (« L’Union et l’espoir »).

    Libé - Au PS, quatre hommes, un baron et un contre-congrès

    Un samedi après-midi à deux ambiances. La première sans suspense : comme prévu, Luc Carvounas, Stéphane Le Foll, Olivier Faure et Emmanuel Maurel postulent officiellement au poste de premier secrétaire du PS. Quatre hommes. Ils étaient présents lors du conseil national du parti à la Maison de la chimie, à Paris. La direction a validé leur dossier. Face à la presse, les uns et les autres ont étalé leurs forces. Une manière de se tester avant de partir en campagne, pour présenter leur programme aux militants, enfin ceux qui restent, à travers le pays.

    Le Figaro - Quatre candidats pour diriger le Parti socialiste

    Le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Olivier Faure, aura face à lui l'ex-ministre Stéphane Le Foll, le député Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, représentant de l'aile gauche.

    Quatre hommes en lice pour un parti en miettes. Le Parti socialiste, rassemblé samedi pour un conseil national, a lancé le top départ de son congrès qui aboutira les 7 et 8 avril prochains par l'installation d'un nouveau premier secrétaire. Tous les postulants se sont rendus à la maison de la Chimie (VIIe arrondissement) pour y déposer leur texte d'orientation (ex-motion).

    Libé - Quatre candidats pour prendre la tête d’un PS à la dérive

    Quatre hommes -Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel- vont être déclarés officiellement candidats samedi pour briguer la tête du PS et tenter de lui redonner vie après les débâcles électorales de 2017....

    En tout état de cause, l’aile gauche apparaît très divisée, entre Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, son représentant naturel.

    Chantre de l’union de la gauche, l’un des rares députés à ne pas avoir voté la confiance au gouvernement en juillet, M. Carvounas a obtenu samedi matin le soutien des amis de Benoît Hamon restés au PS, selon le député Régis Juanico.

    LA SOCIAL-DEMOCRATIE

    La Tribune - La social-démocratie est morte, vive la social-démocratie ! Par Gazier Bernard et Günther Schmid

    Donnée pour morte à de multiples reprises, la social-démocratie a toujours su rebondir. Elle peut le faire à nouveau en 2018, si et seulement si elle actualise ses idéaux. Par Gazier Bernard, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Günther Schmid, Freie Universität Berlin

    L'horizon de l'Union européenne est de plus en plus celui de la déréglementation, des coalitions de centre-droit ou de droite et du repli nationaliste. Selon de nombreux observateurs, la social-démocratie (SD) serait obsolète et condamnée en Europe. Mais on le disait déjà dans les années 1980... La SD subit des enterrements périodiques d'où elle renaît. Il s'agit d'une exigence centenaire, celle de la conception généralisée de la démocratie, l'étendant au-delà des citoyens et des électeurs, vers les travailleurs, les entreprises et les municipalités.

     

    POST-CAPITALISME

    OFCE - Y aura-t-il un post-capitalisme? par Branko Milanovic

    À propos du livre de Paul Mason, « Postcapitalism: A Guide to our Future », Editions Allen Lane, 2015.  

    C’est un livre immensément ambitieux. En moins de 300 pages, Paul Mason explique non seulement les 300 dernières années du capitalisme et les efforts pour le remplacer par un autre système (le socialisme), mais montre comment il sera éventuellement transformé et propose un ensemble de politiques pour aider à cette transformation. De plus, il ne s’agit pas d’un livre superficiel – qui pourrait sembler au premier abord opposer l’énormité du matériel couvert et la taille relativement mince du volume. Il ne faut pas non plus être distrait par le style folklorique utilisé par Mason. Le style peut être journalistique, mais les questions posées, la qualité de la discussion et les objectifs du livre sont de premier ordre.

    COMPLOTISME

    Le Monde - TV – « Complotisme, les alibis de la terreur »

    A voir aussi ce soir. Un documentaire éclairant sur la façon dont le djihadisme utilise et nourrit les thèses complotistes pour justifier la terreur

    Rudy Reichstadt est sur tous les fronts. Membre de l’Observatoire des radicalités politiques à la fondation Jean Jaurès, le politologue anime depuis 2007 le site Conspirary Watch. où il passe aux cribles, pour mieux les démonter, les théories du complot. Ce soir, c’est sur France 3, qu’il poursuit ce combat, en cosignant avec Georges Benayoun, auteur notamment de L’Assassinat d’Ilan Halimi (2014), un documentaire éclairant sur la façon dont le djihadisme utilise et nourrit les thèses complotistes pour justifier la terreur.
     
     
    INEGALITES
     

    Ce matin, Oxfam a fait la une des médias avec un chiffre choc : 82 % des richesses créées l’an dernier ont profité au 1 % les plus riches,  alors que les plus pauvres n’ont eu que des miettes (pour en savoir plus sur ces chiffres, rendez-vous ici). 

    Face à l’indignation que suscite cette crise des inégalités, les entreprises et responsables politiques se trouvent à la croisée des chemins. Des solutions existent pour rééquilibrer la balance entre les 99 % et les 1 %.  

    C’est fort de ce constat que ce matin, des militant-e-s d’Oxfam se sont mobilisé-e-s à Paris, avec un mot d’ordre : combattre les inégalités pour vaincre la pauvreté.

    Observatoire des inégalités - Les inégalités entre les femmes et les hommes en Europe

    Les inégalités entre les femmes et les hommes se réduisent en Europe, mais l’égalité est encore loin d’être atteinte dans de nombreux domaines, et les situations sont très contrastées d’un pays à l’autre. Certains sujets, comme la santé ou l’éducation, avantagent toutefois les femmes. Le tour de la question, par Valérie Schneider de l’Observatoire des inégalités.

    Oxfam lance sa campagne « Combattre les inégalités, vaincre la pauvreté »

    Davos 2018 : Les 1 % les plus riches ont empoché 82 % des richesses créées l’an dernier, la moitié la plus pauvre du monde n’en voit qu’une miette

    Des richesses engendrées l’année dernière, 82 % ont profité aux 1 % les plus riches de la population mondiale, alors que les 3,7 milliards de personnes qui forment la moitié la plus pauvre de la planète n’en ont rien vu. C’est ce que révèle le nouveau rapport d’Oxfam, « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent », publié aujourd’hui, à la veille du Forum économique mondial qui rassemblera le gotha du monde politique et des affaires à Davos, en Suisse.

    Observatoire des inégalités - Impôts et prestations sociales réduisent les inégalités de revenus de moitié

    Impôts et prestations sociales réduisent nettement les inégalités de niveau de vie entre les plus riches et les plus pauvres. La redistribution fonctionne en France, mais les écarts sont considérables à l’origine. L’analyse d’Anne Brunner et Louis Maurin de l’Observatoire des inégalités.

    FINANCE SOLIDAIRE

    The Conversation - Au temps de l’argent roi, où en est la finance solidaire en France ?

    Qu’est-ce que la finance solidaire ?

    L’objectif de cette finance est donc d’allouer des capitaux et financer directement des entreprises engagées notamment dans l’amélioration des conditions sociales et la transition écologique. Les objectifs d’impact sont surtout situés sur les enjeux de l’emploi (lutte contre le chômage), du logement, des énergies renouvelables et de l’agriculture biologique voire du développement entrepreneurial des pays sous-développés du Sud…

     
    JEAN GADREY
     
     
    Liste totalement subjective que chacun.e peut compléter ou contester. Mes billets sur le risque de krach financier ou sur le climat ayant pu en déprimer certain.e .s, je voudrais me racheter un peu en débutant l’année 2018 par quelques très bonnes nouvelles récentes, façon de vous adresser mes vœux.

    PS

    France Info - Emmanuel Maurel, eurodéputé et candidat à la tête du PS : "Rien de ce qui est à gauche ne nous est étranger"

    Le socialiste Emmanuel Maurel était l'invité de "L'Interview J-1", jeudi, à la veille clôture des candidatures pour le poste de premier secrétaire du Parti socialiste.

    Europe 1 - Le débat d’Europe Soir – Frédéric Taddeï – Le Parti Socialiste peut-il encore nous étonner ?

    Avec : Eric BENZEKRI, Scénariste de la série Baron noir ; Gaël BRUSTIER, Politologue......

    Europe 1 - Congrès du PS : une dernière ligne droite sous haute tension

    Les candidats au poste de premier secrétaire ont jusqu’au 27 janvier pour déposer leur motion et satisfaire aux nouvelles règles de parrainage. Malgré l’état du parti, la bataille est déjà âpre. 

    Un congrès du PS, c’est souvent une lutte des egos et des ambitions. Et les débâcles électorales de 2017, qui ont laissé le parti en miettes, l’on contraint à vendre son siège historique rue de Solférino et le placent quasiment en état de mort clinique, n’ont pas changé la donne pour le rendez-vous de 2018. Pas moins de cinq candidats - six si Julien Dray se décide à y aller - se sont fait connaître. Mais les règles de parrainage ont changé, et tous ne pourront peut-être pas s’aligner avant la date limite du 27 janvier. En attendant, et malgré un processus qui s’annonce long, et peut-être douloureux, la bataille a déjà commencé.

    L'Obs - Congrès du PS : "Et si on exigeait la clarté, la lucidité et des idées neuves ?"

    TRIBUNE. A l'aile gauche du PS, les amis de Benoît Hamon appellent à dresser l'inventaire du quinquennat Hollande et à s'appuyer sur l'enthousiasme qui s'est levé lors de la primaire.

    Si Benoît Hamon a quitté le PS, ce n'est pas le cas de tous ses amis. Régis Juanico, membre de la direction provisoire du PS, Mathieu Hanotin, coordinateur de la campagne présidentielle, et une dizaine de parlementaires ou anciens parlementaires socialistes veulent peser sur le congrès socialiste. Dans le texte que nous publions ci-dessous, ils réclament "un inventaire de la pratique du pouvoir par la gauche, tout particulièrement du dernier quinquennat", tout en marquant une opposition résolue à la politique d'Emmanuel Macron.

    A quelques jours de la clôture des candidatures, ils ne disent pas à ce stade quel sera leur choix. Soutenir Emmanuel Maurel, candidat de l'aile gauche ? Ou bien Luc Carvounas, ancien lieutenant de Manuel Valls devenu l'avocat de la réconciliation de la gauche ? Ils feront savoir leur décision samedi.

    France Inter , Le PS se cherche un chef

    Avec Olivier Faure, le président du groupe socialiste à l’Assemblée qui fait figure de favori.

    Ancien hollandais mais compatible avec la gauche d’un PS qui, de toute façon, n’a plus de boussole. Au-delà de la compétition, c’est bien la pertinence de l’existence du PS qui est en jeu. Où en est-il aujourd’hui ? Son encéphalogramme idéologique est plat, mais au jour le jour, le PS gère toujours les plus grandes villes dont la capitale, 5 des 12 régions et de nombreux départements. Et ses élus locaux sont plutôt appréciés.

    Slate - Peut-on vraiment sauver le PS? par Olivier Biffaud

    Le nom du ou de la nouvelle première secrétaire du parti socialiste sera connu le 29 mars. Une lourde tâche l'attend: sauver le navire socialiste d'un naufrage définitif et tenter de le remettre à flot.

    Une femme –Delphine Batho– et quatre hommes –Luc Carvounas, Olivier Faure, Stéphane Le Foll et Emmanuel Maurel, par ordre alphabétique– sont actuellement en lice pour engager, dès l'élection du nouveau premier secrétaire du Parti socialiste le 29 mars prochain, le sauvetage de l'année!

    Slate, Gaël Brustier - Le Parti socialiste ne connaîtra pas un nouvel Épinay (à moins que…)

    Avec Delphine Batho, ils sont maintenant cinq à vouloir relever le PS. On imagine que dans la tête de chaque candidat au poste de premier secrétaire trotte le souvenir du congrès d'Épinay, charriant nostalgie, fantasmes et espérances…

    En 1971, longtemps après l’arrivée de De Gaulle au pouvoir en 1958, naquit le PS d’Epinay dirigé par François Mitterrand. L’Union de la gauche puis la conquête du pouvoir en 1981 apparaissent désormais comme un âge d’or. On en est si loin...

    L'Obs - Le Parti socialiste est-il "une mafia", comme le dit Delphine Batho ?

    Pour le politologue Frédéric Sawicki, le fonctionnement du PS évoque "dans certains cas un fonctionnement clanique ou féodal". Interview.

    Frédéric Sawicki est politologue, spécialiste du Parti socialiste et des pratiques militantes. Il est professeur de science politique à l'Université Paris I-Panthéon-Sorbonne.

    Libé - A Lille, Martine Aubry soutient Faure et charge Macron

    La maire de Lille a annoncé ce jeudi, lors de ses vœux à la presse, qu'elle apportait son soutien au chef des socialistes à l'Assemblée pour prendre la tête du parti. Et profité de l'occasion pour critiquer la politique migratoire de l'Elysée.

    Ce sera Olivier Faure. Martine Aubry a annoncé son soutien officiel à celui qui a été son conseiller lorsqu’elle était ministre de l’Emploi et de la Solidarité, dans le gouvernement Jospin.

    Le Monde - Un ancien membre de la campagne de Benoît Hamon mis en examen pour viol

    Placé en garde à vue mardi, Gilbert Cuzou est visé par cinq plaintes de militantes du PS qui ont participé à la campagne présidentielle de Benoît Hamon.