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BFM Politique: L'after RMC: Le débat entre Ségolène Royal et Nathalie Kosciusko-Morizet (5/5) – 19/10 BFMTV
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BFM Politique: L'interview de Ségolène Royal par Christophe Ono-Dit-Biot (3/5) - 19/10 BFMTV
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BFM Politique: L'interview BFM Business de Ségolène Royal par Hedwige Chevrillon (2/5) - 19/10 BFMTV
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Hollande : "Les réformes se poursuivront à un rythme encore accéléré" jusqu'en 2017
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Le debrief du Grand Jury RTL/ Le Figaro/ LCI du 19 octobre 2014 par rtl.fr
Le debrief du Grand Jury RTL/ Le Figaro/ LCI du... par rtl-fr -
Emmanuel Macron au Grand Jury RTL/Le Figaro/ LCI du 19 octobre 2014 par rtl.fr (1)
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Emmanuel Macron au Grand Jury RTL/Le Figaro/ LCI du 19 octobre 2014 par rtl.fr (2)
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Cet article captera-t-il votre attention ?
Résumé : Si vous êtes arrivé là, c'est déjà un début. Et si vous cliquez pour lire la suite, vous apprendrez ce qu'est l'économie de l'attention. Et comment cet article a réussi à attirer la vôtre.
Si vous lisez ceci c'est que, d'une manière ou une autre, cet article a attiré votre attention. Peut être est-ce son titre, ou encore son chapô. Peut être est-ce aussi dû à son image d'illustration, ou encore au fait qu'il se trouve en bonne place sur la page d'accueil du site que vous visitiez. Ou peut être est-ce parce que votre moteur de recherche vous y a emmené
Voilà autant de stimuli de captation de votre attention possibles, auquel votre cerveau, consciemment ou non, a été soumis. Et pour que vous en soyez arrivé là, en ces temps de surabondance d'informations, c'est que celui-ci a décrété que cela pouvait valoir la peine de cliquer. Pour ne pas lui donner tort, plongeons nous donc dans ce qui s'appelle l'économie de l'attention.
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OFCE - L’infinie maladresse du budget français par Xavier Timbeau
C’est entendu, dans le projet de budget communiqué à la Commission européenne le 15 octobre 2014, la France ne respecte pas les règles de la gouvernance européenne et les engagements antérieurs négociés dans le cadre du Semestre européen. Alors que la France est en procédure de déficit excessif, la Commission européenne n’a pas a priori d’autre choix que de rejeter le budget français parce qu’elle est la gardienne des traités. Si la Commission ne refusait pas le budget français, qui s’écarte très significativement, au moins en apparence, de nos engagements antérieurs, alors aucun budget ne pourrait jamais être rejeté.
Rappelons que la France, et son Président actuel, ont ratifié le Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Croissance (« TSCG », entré en vigueur en octobre 2012), qui avait été adopté par les chefs d’Etats en mars 2012. Il avait été question pendant la campagne présidentielle de 2012 de le renégocier (ce qui avait suscité l’espoir des pays du sud de l’Europe), mais l’urgence de la crise des dettes souveraines en Europe, entre autres, en a décidé autrement. La France a implémenté les dispositions de ce traité dans la loi organique n°2012-1403, mettant en place par exemple le Haut Conseil des Finances Publiques et définissant un schéma pluriannuel de suivi de la trajectoire des finances publiques à partir des soldes structurels (c’est-à-dire corrigés des effets de la conjoncture).
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Non Fiction - Y a-t-il des choses que l'argent ne devrait pas pouvoir acheter?
Résumé : Enfin en traduction française le livre de Michael Sandel sur les limites morales du marché, qui a été un formidable succès de librairie à l'échelle mondiale.
Imaginez que vous ayez les moyens de payer quelqu’un qui pourrait vous éviter de faire le pied de grue dans des bâtiments administratifs ou devant la billetterie d’un stade. Qu’y aurait-il de mal à recourir à ses services ? Si vous pouvez rétribuer un sans-abri pour qu’il attende à votre place, pourquoi quiconque se plaindrait de cette transaction profitant à tout le monde ? Et si vous préférez vendre votre billet plutôt que de l’utiliser vous-même, en empochant une plus-value de 10%, pourquoi devrait-on vous en empêcher ?
A la réflexion, deux arguments peuvent même justifier que l’on fasse prévaloir dans ces cas-là la logique de marché : le premier renvoie au respect de la liberté individuelle, et le second à la maximisation du bien-être ou de l’utilité sociale. N’est-il pas légitime de dire, en effet, que tout individu devrait être libre d’acheter et de vendre ce qui lui plaît tant qu’il ne viole les droits de personne ? En outre, lorsqu’il est démontré que les échanges marchands bénéficient aux acheteurs et aux vendeurs à la fois, ne peut-on en conclure qu’ils sont synonymes de bien-être collectif, et donc parfaitement justifiés ?Lire la suite
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