Alors que la date des élections européennes approche (les 8 et 9 juin 2024), une possible percée des mouvements eurosceptiques pourrait se profiler en France, sans pour autant menacer l’équilibre des forces au Parlement européen.
Cette progression dans les sondages se fait dans un climat médiatique réduisant régulièrement le champ du débat aux invectives, où l’on présente les eurosceptiques comme des mouvances menaçantes, le plus souvent en les amalgamant, ou pire, en faisant parfois des parallèles forts douteux avec les années trente, l’euroscepticisme y est mélangé aux termes « populistes », « dictature fasciste » ou « dictature du prolétariat ».
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