Alors que le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé vouloir intégrer la souveraineté alimentaire dans la loi française, les opposants dénoncent un dévoiement de ce concept ancien, issu des mouvements paysans. Pouvoir exportateur pour les uns, droits des paysans locaux pour les autres : tout le monde défend le terme mais personne ne s’entend sur la définition.
Ce fut l’une des annonces phares répondant à la colère des agriculteurs. Le 1er février, lors d’une conférence de presse, le Premier ministre Gabriel Attal déclare que la souveraineté agricole serait inscrite au cœur de la prochaine grande loi agricole française. Une idée soufflée par la FNSEA, le principal syndicat agricole.
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