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  • OXFAM - Comment la concentration des richesses impacte notre démocratie ? - Entretien avec Julia Cagé

    Quand seulement quelques-uns détiennent le pouvoir, quels sont les dangers d'une telle concentration pour notre démocratie ? Dans le secteur des médias, dans le cadre du financement des partis politiques : nous avons rencontré Julia Cagé pour en parler.

    Julia Cagé est économiste et professeur d'économie à Sciences Po Paris. Auteure des ouvrages "Le prix de la démocratie", "Sauver les médias" et "L'information est un bien public", elle travaille sur les questions de concentration dans le secteur des médias et sur le financement des partis politiques.

  • L’Iddri au coeur des dialogues mondiaux de la CCNUCC sur l’ambition climatique

    Lola Vallejo, directrice du programme climat de l'Iddri, a été nommée co-présidente du Programme de travail sur l'atténuation de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) pour un mandat de deux ans. Quel est l'objectif de ce programme et pourquoi est-il important ?

    Lors de la COP 26, en 2021, les pays ont collectivement pris la mesure de l'écart entre la trajectoire des émissions mondiales (obtenue par l’agrégation des contributions déterminées au niveau national (CDN) des pays) et le budget carbone qui s'amenuise rapidement pour atteindre les objectifs de température de l'Accord de Paris. Il existe également un autre écart, tout aussi important, concernant la mise en œuvre de ces CDN, car les pays doivent encore transformer pleinement ces engagements en politiques et mesures concrètes1 .

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  • L'article de la fin de semaine : Le Vent se lève - Taxation des milliardaires : ces cinq contre-arguments qu’on ne veut plus entendre

    À chaque fois que la taxation des milliardaires revient dans le débat public, de nombreux arguments sont mobilisés contre cette proposition. Elle serait injuste, démagogique, irréaliste et contre-productive. Menacer ces créateurs de richesses de prélèvements supplémentaires risquerait de les faire fuir hors du territoire et de détruire des emplois. Taxer la réussite découragerait également l’innovation et l’entrepreneuriat. Et quand bien même : avec la mondialisation et les paradis fiscaux, l’imposition des grandes fortunes n’est-elle pas devenue impossible ? Autant d’excuses faciles pour cacher une absence de volonté politique de s’attaquer aux super-riches. 

    Selon l’ONG Oxfam, les deux tiers de la richesse créée par l’économie mondiale depuis 2020 ont été captés par les 1 % les plus riches. Rien qu’en France, la fortune des dix premiers milliardaires s’est accrue de 189 milliards d’euros, Bernard Arnaud cumulant à lui seul un patrimoine équivalent à celui de 20 millions de Français. Toujours selon l’ONG, taxer la fortune des milliardaires français à hauteur de 2 % permettrait de financer le déficit (hypothétique) des retraites.

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