Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Huffington Post - À Aubervilliers, Hidalgo et ses militants veulent "tenir bon" malgré les chaises vides

    POLITIQUE - Vaille que vaille. Éprouvée par les mauvais sondages et le feuilleton de la primaire populaire, la candidate PS Anne Hidalgo poursuit sa campagne tant bien que mal. Elle était ce samedi 22 janvier à Aubervilliers, dans la banlieue nord-est de Paris en Seine-Saint-Denis (93) pour son premier grand meeting parisien. Devant elle, la foule ne remplit pas la salle. Environ 700 personnes pour près de 1200 places, selon les calculs de notre reporter sur place. Loin des 1000 militants qu’elle espérait ou de la jauge à 1.500 places un temps annoncé. “Non, nous ne reculerons pas!” La candidate socialiste a d’abord tenu à remercier ceux présents. “Vous croyez toujours à nos valeurs, à nos projets, à nos réformes nécessaires au redressement du pays. Vous croyez toujours comme moi à l’avenir de la gauche et à l’avenir de la France contre les défaitistes et les résignés”, a-t-elle déclaré devant le parterre clairsemé. “Vous croyez à la fidélité, à l’amitié, à l’idéal... Alors honneur à vous, honneur à vous mes amis!”. Selon les informations de nos confrères de BFM TV, elle serait arrivée par un autre endroit de la salle que celui prévu, pour éviter les images de chaises vides. Malgré les circonstances, l’actuelle maire de Paris a déroulé un discours optimiste et déterminé. “Avec toute ma volonté de femme de gauche, républicaine et de militante, jamais, jamais...Non! Nous ne reculerons pas!”, a-t-elle affirmé au milieu des applaudissements. L’espoir des militants malgré tout Au premier rang, du côté de là où Anne Hidalgo est finalement arrivée, quelques poids lourds comme Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat. Ou encore Olivier Faure, le premier secrétaire du PS. Mais ni Martine Aubry, ni Bernard Cazeneuve que l’on voit pourtant dans la vidéo d’introduction du meeting, comme le souligne une journaliste politique de L’Opinion. Si les figures de la gauche ne se sont pas toutes pressées aux côtés de la candidate, du côté des militants on tente de garder espoir et tête haute. “Avec enthousiasme, même si c’est difficile, je tracte, je boite”, déclare ainsi Nadine, motivée malgré tout. L’optimisme veut régner parmi les discours des militants PS que Le HuffPost a interrogé. Mais pour Michel, un sympathisant, les divisions et l’état de la gauche ne vont pas permettre d’aller bien loin. ”J’ai l’impression quand même que pour cette échéance-là cette année, ça va être très dur”, se résigne-t-il, attristé.

  • Réacteurs nucléaires à l'arrêt : causes, conséquences et critiques

    Une dizaine de réacteurs nucléaires sont à l'arrêt, dont 5 en raison d'une anomalie technique dans la tuyauterie. La capacité de production d'électricité nucléaire est ainsi réduite de 20%, et pour compenser, les fossiles tournent à fond, augmentant les émissions de gaz à effet de serre de la France

  • La Vie des Idées - Extinction de vote ?

    Les élections qui ont eu lieu en France en 2021 ont frappé les esprits par leur taux d’abstention record. Qu’en penser à l’approche des élections présidentielle et législatives ? Un nouveau volume de la collection Vie des idées / Puf fait le point sur la question : démobilisation, ou reconfiguration de la citoyenneté ?

    Tristan Haute, Vincent Tiberj, dir., Extinction de vote ?, Puf 2022, 120 p., 9 €. Tristan Haute est maître de conférence en science politique à l’université de Lille et chercheur au CERAPS. Vincent Tiberj est professeur des universités à Sciences Po Bordeaux et chercheur au Centre Émile-Durkheim. Il a récemment publié aux Puf Les citoyens qui viennent. Comment le renouvellement générationnel transforme la politique en France (2017). Ont participé à cet ouvrage : Yves Déloye, Florence Faucher, Jérémie Moualek, Vincent Tiberj, Tristan Haute, Baptiste Coulmont, Marie Neihouser.
     
    Lire la suite
    ______________________
    ______________________
  • L'Obs - « Pour les milliardaires, la pandémie a été une aubaine », dénonce Oxfam

    « S’ils se sont enrichis, ce n’est pas grâce à des choix stratégiques brillants, mais principalement en raison de l’argent public versé sans condition », critique l’ONG dans un nouveau rapport.

    La ligne fiscale qui guide le gouvernement depuis cinq ans n’a pas varié d’un fil, et elle a été confirmée par le ministre de l’Economie lors de ses vœux : il est hors de question de taxer plus les Français ou de revenir sur la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF, remplacé par un impôt sur les fortunes immobilières). C’est même sur cette ligne que Bruno Le Maire s’engage pour les cinq à dix ans à venir s’il reste à Bercy.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________