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  • INSEE - Indicateurs pour le suivi des objectifs de développement durable17 objectifs de développement durable

    L’Assemblée Générale de l’ONU a adopté 17 objectifs de développement durable (ODD), déclinés en 169 cibles pour la période 2015-2030. Leur suivi s'appuie sur une première liste de 244 indicateurs.

    Ces objectifs et cibles constituent pour les États une feuille de route commune de la transition vers un développement durable. Une concertation sera prochainement engagée sous l'égide du Cnis pour proposer des indicateurs pertinents pour le suivi de la mise en œuvre nationale des ODD.

    Dans cette perspective, les indicateurs statistiques d'ores et déjà disponibles au niveau national, dans une version exacte ou approchée, parmi les 244 indicateurs internationaux, ont été recensés et collectés au sein du SSP, de la Banque de France et du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.

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  • Centre d'Observation de la Société - Quel avenir pour la structure sociale de la France ?

    Où va le paysage social français ? L’Insee vient de livrer des données inédites pour la période 2003-2016 doublement intéressantes : elles portent sur l’ensemble de la population et permettent de mesurer l’évolution de la structure sociale depuis le début des années 2000 de façon détaillée. Ce qui permet de dresser des scénarios d’évolution.

    Premier intérêt de ces données, elles portent sur l’ensemble de la population de 15 ans et plus, non uniquement sur ceux qui ont un emploi comme c’est le cas le plus souvent : elles intègrent notamment les chômeurs et les retraités en fonction de leur dernier emploi occupé. De fait, ceux-ci n’abandonnent pas leur milieu social et leurs habitudes de vie en cessant de travailler. Seuls les chômeurs et les inactifs n’ayant jamais travaillé ainsi que les étudiants sont comptabilisés à part faute de pouvoir leur affecter un groupe social. Ces données permettent de mesurer le poids effectif des catégories sociales en France, indispensable pour comprendre les évolutions de notre société.

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  • Le Figaro - Brice Couturier : le Parti des médias et l'intelligentsia méprisent la réalité

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans un entretien fleuve, Brice Couturier, qui a été le chroniqueur matinal de France Culture pendant cinq ans, décrypte les contours d'une vie médiatico-intellectuelle où le pluralisme et le vrai débat sont en voie de disparition.


    Journaliste et producteur de radio, Brice Couturier rejoint France Culture en 2002, où il anime alors une émission hebdomadaire consacrée à l'Europe, Cause Commune, avant de devenir producteur de l'émission Du grain à moudre. De 2011 à 2016, il a été chroniqueur et co-animateur dans Les Matins de France Culture.


    FIGAROVOX. - De septembre 2011 à juin 2016, vous avez été chroniqueur et co-animateur dans Les Matins de France Culture. Que retenez-vous de ce quinquennat sur le plan intellectuel et politique?

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  • PS - Rentrée 2017, les socialistes mobilisés !

    Olivier Faure, président du groupe « Nouvelle Gauche » à l’Assemblée nationale, Martial Bourquin, sénateur, et Christine Revault d’Allonnes, présidente de la délégation socialiste française du PS au Parlement européen, sont revenus sur les grands enjeux de la rentrée politique et les combats à mener.

    Nadège Azzaz, qui animait cette table ronde, a rappelé en introduction que la politique menée est bel et bien de droite, « elle est sacralisée par le triumvirat de droite, Philippe, Le Maire et Darmanin ».

    Que ce soit à l’Assemblée nationale, au Sénat ou au Parlement européen, les élus socialistes sont mobilisés pour proposer des solutions concrètes aux difficultés de nos concitoyens et porter haut les valeurs de la gauche sociale-démocrate.

    Christine Revault d’Allonnes, après être revenue sur les évolutions du fonctionnement politique de l’Union européenne, a annoncé que désormais ce sont les militants qui désigneront le président du Parti socialiste européen.

    Les euro-députés socialistes français, conformément aux axes de campagne de 2014, sont principalement mobilisés sur les questions sociales. Ainsi en est-il de la révision de la directive dite « travailleurs détachés », actuellement examinée en Commission Emploi, où Guillaume Balas nous représente. « Les gouvernements précédents du quinquennat de François Hollande ont été très actifs, on abouttissait à quelque chose qui était protecteur pour les travailleurs et conforme à nos valeurs », a déclaré Christine Revault d’Allones.

    Elle a également rappelé le travail fait par notre délégation en faveur de l’accueil des réfugiés, et la traduction dans le droit communautaire des engagements pris lors de la COP21.

    Martial Bourquin, sénateur, a d’emblée évoqué la nécessité d’une « clarification indispensable » : « Il y a rupture avec le quinquennat précédent, dans une version très néolibérale des politiques qui sont proposées ». Mais si notre position d’opposition est certaine, Martial Bourquin a également insisté sur le fait que nous devons également être une force de propositions. « Nous devons être les défenseurs des plus humbles. Nous devons être les défenseurs de ceux qui paient les pots cassés de la crise financière », a-t-il poursuivi.

    En outre, les sénateurs socialistes comptent bien défendre l’existence de collectivités locales efficaces et autonomes financièrement, en se battant contre le plan de réduction des dotations aux collectivités locales. «

    Olivier Faure a quant à lui débuté son intervention en notant la baisse d’Emmanuel Macron dans les sondages, président le plus impopulaire au bout de trois mois : « On a des Français qui ont aimé la bande annonce, mais qui sont extrêmement déçus par le film. Donc, au bout du premier quart d’heure, plus de la moitié a quitté la salle. Le problème, c’est qu’ils n’ont pas encore regagné les salles voisines ». Malgré tout, Olivier Faure prône un certain optimisme. Les députés La France insoumise se sont « auto-limités » : « Il alignent des boites de conserve, tendent le Code du Travail, font en sorte d’être visibles. Mais leur activisme, leur capacité à être dans l’agitation propre les cantonnent aussi à un rôle qui ne peut pas être celui des alternants ». Face à cela, les socialistes et apparentés à l’Assemblée doivent montrer que nous pouvons nous réinventer, d’où le nom « Nouvelle Gauche » pour notre groupe à l’Assemblée : « Nous voulions arriver à donner un signal à l’opinion publique que nous étions, non pas la reconduction de ce que nous avions été précédemment, mais que nous étions les premiers de la cordée d’une nouvelle ascension ».

    Pour notre avenir, Olivier Faure a déclaré qu’avec « tous les talents » qui composent notre parti, nous pourrons « retrouver le succès qui était le nôtre ».