«J’aurais préféré faire ça calmement.» Nouria (1) hausse les épaules. A 24 ans, cette jeune habitante d’Annaba, à 400 kilomètres à l’est d’Alger, fait partie du groupe dit des «bikinis». L’idée de ces jeunes femmes, qui se réunissent via un groupe Facebook, que l’on ne peut rejoindre que si l’on est parrainée par une membre, pour aller à la plage le même jour, l’enthousiasmait. Mais les dernières semaines de polémiques la rendent amère.
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