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The Conversation - Alain Finkielkraut nouvel académicien, le fragile bonheur de l’immortalité, Jean-Claude Poizat Professeur agrégé de philosophie et docteur en sciences politiques (IEP de Paris), Ipesup

Alain Finkielkraut, né en France en 1949 dans une famille juive d’origine polonaise, écrivain, philosophe et essayiste français bien connu du grand public, auteur de nombreux ouvrages portant sur la culture, la politique ou la littérature, siége désormais Quai de Conti, au fauteuil numéro 21 de Félicien Marceau. Il a été élu le jeudi 10 avril à l’Académie française au premier tour par 16 voix sur 28, et reçu en séance solennelle sous la Coupole le jeudi 28 janvier 2016 par Pierre Nora.

Une critique féroce du « progressisme »

Son élection avait, on s’en souvient, donné lieu à de nombreux débats et même à d’intenses polémiques, non seulement dans les médias mais également au sein de la vénérable institution. Les Immortels s’étaient divisés en raison des prises de position politiques de l’intéressé : Finkielkraut était-il un « anticonformiste » ou un « réactionnaire » ? Si l’intéressé s’est toujours défendu avec véhémence d’être un « réac » ou même un « néo-réac », il ne s’en est pas moins toujours livré à une critique féroce de ce qu’il appelle lui-même le « progressisme ».

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