Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Congrès de Poitiers : les contributions

 
A quatre mois du prochain congrès du Parti socialiste à Poitiers, les ténors socialistes fourbissent leurs armes. Aile gauche du parti, premier secrétaire, aile droite des réformateurs : les premières contributions, des textes qui pourront ensuite être regroupés par alliances en "motions" - ont été déposés cette semaine, avant un conseil national ce samedi 7
 
Le Parti socialiste a bouclé samedi la première étape de son congrès, avec le dépôt des premiers textes, laissant désormais le champ libre aux petites manoeuvres pour tenter de rallier les uns et les autres. Lors d'un conseil national (parlement du parti) qui se tenait samedi à Paris, 27 "contributions générales" ont été déposées. Ces "pré-textes" pourront ensuite être "fondus" dans des "motions" qui, elles, seront rendues d'ici le 11 avril selon le calendrier retenu par le PS. C'est sur les motions que voteront les militants le 21 mai. Le premier signataire de la motion arrivée en tête deviendra le premier secrétaire du parti.
 
L'Express - Le PS entre dans le vif du congrès, Martine Aubry se démarque

Paris - Le Parti socialiste, réuni en parlement samedi, entre dans le vif des débats de son congrès, Martine Aubry se démarquant de la majorité voulue par Jean-Christophe Cambadélis en signant, à ce stade, un premier texte préparatoire à part.

 
Ce vendredi marque la première étape du congrès du PS, prévu en juin à Poitiers, avec le dépôt des contributions qui définiront la ligne du parti.
 
 
Les "frondeurs" du collectif "Vive la gauche" ont déposé leur contribution au congrès du PS, dans laquelle ils réclament des "politiques en rupture avec le modèle néolibéral", des réformes fiscale et bancaire et une réorientation de la politique européenne.
 
 
Les «frondeurs» du collectif «Vive la gauche» ont déposé leur contribution au congrès du PS, dans laquelle ils réclament des «politiques en rupture avec le modèle néolibéral», des réformes fiscale et bancaire et une réorientation de la politique européenne.
 
 
 
 
 
Les réformes, les élus socialistes votent oui ! La contribution du sénateur et maire de Lyon Gérard Collomb au futur congrès du PS (4-7 juin à Poitiers), que nous avons publiée dans nos colonnes en exclusivité le 29 janvier, ne cesse de recueillir des signatures. Édith Cresson, Jean-Pierre Sueur, Catherine Tasca, Nicole Bricq, Christophe Caresche, Gilles Catoire ont déjà apporté leur soutien.
 
Contribution de D&S Gérard Filoche 1000 signataires de 93 departements au debat du Congres PS de Poitiers
 
Nous sommes aujourd’hui dans le premier temps du congrès de Poitiers : celui des contributions (générales ou thématiques), qui doivent être déposées lors du Conseil national du 7 février. Chaque adhérent, soulignons-le, peut être signataire de plusieurs contributions générales comme le rappelle la circulaire nationale n°1354 de notre parti.
 
 
Les amis de la maire de Lille veulent pousser le premier secrétaire socialiste à inscrire dans une future «motion commune» la réorientation budgétaire qu'ils souhaitent.
 
 
«Maintenant la gauche», l’un des courants de l’aile gauche du Parti socialiste, réclame un «sursaut républicain» passant par une «politique de relance économique» et appelle le PS à ne pas montrer de «solidarité aveugle avec l’exécutif», dans un texte préparatoire au congrès.
 

Le congrès du Parti socialiste se tiendra à Poitiers au mois de juin. Le courant réformiste porté par le sénateur-maire de Lyon a rendu publique sa contribution, dans laquelle on retrouve les grandes options saint-simoniennes de Gérard Collomb en matière économique. Mais les propositions les plus innovantes portent sur l’Europe et la réorganisation du PS.

 
Cette contribution citoyenne participative respecte notre mode de fonctionnement en cours depuis près de 3 ans. Plusieurs dizaines de textes ont été rédigés par près de 60 militantEs pour alimenter la réflexion collective. Un séminaire nous a réuniEs les 17 et 18 janvier 2015 pour finaliser cette contribution: Oser, la gauche citoyenne (O.L.G.C.).
 
Contribution Inventons Demain «  Inventons Demain : ni Courtisans, ni Frondeurs, mais attachés au débat d’idées » 

 Si ce congrès se résume encore à des postures ou des jeux de courants stériles, alors ce congrès sera raté. Cela ne ferait que prolonger le lent mais douloureux déclin de notre parti. Un déclin que certains ne voient pas venir, enfermés dans des vieilles certitudes inébranlables, dont celle qui consiste à croire qu’il y aura toujours un parti socialiste et des élus, et que dès lors, on peut éviter le débat d’idées aujourd’hui.

Contribution AGIS - Agir pour vivre « libres » ensemble :
 

1 –  Agir pour le bonheur éducatif et pour une laïcité ressourcée
Repenser un système public d’éducation à partir de la petite enfance et tout au long de la vie. Sortir le système éducatif français de la sanction/évaluation/échec. Aller vers le lycée unique. Créer des pôles d’excellence. Donner les outils aux jeunes pour devenir des citoyens bien informés et réactifs par rapport aux enjeux actuels de notre planète. Aborder la question sans fragmenter les domaines (préscolaire, maternelle, élémentaire, collège, lycée, université, parcours de formation continue) et en englobant tous les acteurs du système (élèves, enseignants, parents, autres personnels, etc.). Redéfinir le métier d’enseignant
 
 
Contribution Générale pour le congrès de Poitiers

En 2015, la gauche en action est à la croisée des chemins. Les Socialistes détiennent une majorité parlementaire qui est fragilisée par des résultats économiques trop parcellaires tandis que la débâcle des municipales de 2013 a transformé la plupart de nos bastions en terres de reconquête ! Les partenaires de gauche sont eux aussi fortement affaiblis, tandis que le Centre gauche du Modem s’est rangé sans retour possible à droite, derrière l’UMP.

Génération - mai - Grèce et Espagne : soyons euro-progressistes !

Si la France se réforme, ce n’est pas pour satisfaire telle institution internationale ou telle autre européenne. C’est avant tout pour remettre en ordre de marche son appareil productif, ses compétitivités, et in fine son économie globale. Il ne s’agit nullement de la manifestation d’une quelconque soumission aux injonctions pouvant émaner de Washington ou de Bruxelles. Contrairement à ce que laissent penser les populistes de tout poil, les nations sont souveraines, et leurs gouvernements – démocratiquement élus – libres d’agir comme ils l’entendent.

Les commentaires sont fermés.