La mort ne fait pas peur au journaliste et écrivain algérien visé par une récente fatwa. Il n'en est pas de même d'un monde sans liberté où il n'aurait pas sa "place".
C'est la mécanique du 11 : un Allahouakbar, quelques assaillants, plusieurs morts, des analystes sur des plateaux TV, des rassemblements, un slogan, un plan Global War bis, des théories de complots, des gens en pleurs puis un président qui appelle au rassemblement et promet le châtiment. Ensuite les trois ou quatre religions du coin qui condamnent, des extrémistes qui rappellent qu'ils ont déjà tout prévu, des proches des morts qui témoignent et des musulmans qui clament que prier n'est pas tuer.
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