Le risque est de tendre vers une généralisation des ouvertures sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Et la fin des contreparties financières pour les salariés.
Cela fait une dizaine de jours que les images déferlent de salariés, «volontaires» pour travailler de nuit ou le dimanche. Sans que les raisons de l’opposition intersyndicale au travail de nuit ou du dimanche dans le commerce ne soient toujours explicitées, le goût du sensationnel (syndicats contre salariés !) prend le pas sur le débat de fond, pourtant essentiel.
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