Le clair-obscur est une obligation du discours politique, mais le second président socialiste de la Ve République s'en acquitte moins bien que le premier.
Les politiques ont en commun avec les vampires d'avoir l'aveuglante clarté en sainte horreur. Mais il faut les comprendre.
Tout responsable public, tout élu voit son discours saturé de lourdes contraintes. Il s'exprime au nom d'un groupe (parti, exécutif, etc.) plus ou moins hétérogène.
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