Depuis le 6 mai 2012, François Hollande est le septième président de la République. Elu avec 51,63 % des voix, il souhaitait apaiser la France après l’"hyperprésidence" de Nicolas Sarkozy. S’il est encore trop tôt pour dresser un bilan de son action, le chef de l’Etat fait face à de graves tensions : chômage massif, impopularité record et crise morale. Dans ce contexte, peut-il rester fidèle à sa promesse de changement ou a-t-il choisi de gouverner avec pragmatisme ? Peut-on déjà définir les traits caractéristiques de sa présidence ?
Edgar Morin
Sociologue et philosopheEdgar Morin tire les premières leçons de la présidence Hollande et prône une régression du capitalisme
Arnaud Viviant
Ecrivain et rédacteur en chef de la revue "Charles"Contrairement à celle de son prédecesseur, il est encore difficile de définir la "doctrine Hollande"
Ulrich Beck
Sociologue et philosophe
L'excitation des éditorialistes qui font monter François Hollande sur leur échafaud de papier paraît très exagérée
L'excitation des éditorialistes qui font monter François Hollande sur leur échafaud de papier paraît très exagérée
Christopher Caldwell
Journaliste au "Weekly Standard" et chroniqueur au "Financial Times"
La démocratie est livrée aux lobbys
La démocratie est livrée aux lobbys
Dominique Reynié
Directeur général de la Fondation pour l'innovation politique
Les socialistes paient toujours le fait de n'avoir pas voulu tirer les conséquences du tournant de 1983
Les socialistes paient toujours le fait de n'avoir pas voulu tirer les conséquences du tournant de 1983
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