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roumanie

  • LVSL - En Roumanie, la colère contre le libéralisme de Bruxelles nourrit le poujadisme

    Après la victoire surprise du nationaliste Călin Georgescu au premier tour de la présidentielle en décembre 2024, le régime roumain a vacillé : élection annulée, candidature de Georgescu interdite, manifestations massives… En cherchant à tout prix à conserver leurs réseaux clientélistes et à maintenir l’ancrage atlantiste du pays qui abritera bientôt la plus grande base européenne de l’OTAN, les élites libérales du pays ont joué avec le feu. George Simion, seul candidat d’extrême-droite autorisé à se présenter, vient de réaliser un score encore plus écrasant et semble bien parti pour gagner. En accusant Moscou de miner la démocratie roumaine, les partis traditionnels pro-européens ont finalement nourri leurs opposants poujadistes et pro-Trump. Un scrutin rocambolesque et dégagiste qui en dit long sur le ras-le-bol des Roumains face au grand marché européen. Reportage.

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  • Le Grand Continent - Comment Poutine attaque la Roumanie : 10 points sur l’arsenalisation avec TikTok d’une démocratie

    Le soir du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, un candidat d’extrême droite qui était donné à 1 % dans les intentions un mois plus tôt remporte le premier tour avec 22,94 % des voix. Dans la sidération générale, l’un des principaux journalistes et commentateurs politiques roumains déclare : « Ce soir, 24 novembre 2024, l’invasion russe de la Roumanie a commencé ». 

    La revue a eu accès et étudié les documents élaborés par les services roumains, ayant notamment servi à informer la décision du 4 décembre de la Cour suprême d’annuler les élections. On y découvre une opération d’une ampleur inédite menée par la Russie pour soutenir un candidat d’extrême droite proche de Poutine, en fragilisant les infrastructures démocratiques d’un État stratégique pour l’architecture de sécurité de l’Union

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