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Martine Aubry : "La violence, elle naît souvent des inégalités"
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"Manuel Valls représente un point d'appui dans l'avenir de la gauche" Jean-Marie Le Guen (30/08/2016)
"Manuel Valls représente un point d'appui dans... par radioclassique -
Intervention de Manuel Valls - Rassemblement "L'essentiel c'est la République"
Intervention de Manuel Valls - Rassemblement "L... par PartiSocialiste -
Démission d'E. Macron : "Cela a tous les aspects d'une tragi-comédie politique" pour Christian Paul
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Démission d'E. Macron : "Il y a une démission, il n'y a pas encore de candidature", estime Olivier Faure
"Je ne parlerai pas de crise", réagit le député et porte-parole du PS Olivier Faure sur le départ du ministre de l'Economie. "On a un départ annoncé", qui était "devenu inéluctable après le discours d'Emmanuel Macron à la Mutualité", estime-t-il. Cette démission ne va pas non plus compliquer la candidature de François Hollande selon lui, qui ajoute qu'une candidature d'Emmanuel Macron n'est pas certaine : "Ne brûlons les étapes, il y a une démission, il n'y a pas encore de candidature".
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Discours de clôture de Jean-Christophe Cambadélis - Séminaire de rentrée des socialistes
Discours de clôture de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Discours de Benoit Hamon à Saint-Denis le 28 août 2016
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RFI - Primaire à gauche : la guerre est déclarée
Primaire à gauche : la guerre est déclarée par rfiA gauche, deux frondeurs, Benoit Hamon et Arnaud Montebourg pourraient se présenter contre François Hollande. Ce dernier a-t-il réagi à l'annonce de la concurrence de deux de ses anciens ministres ? Etant donné que les deux candidats frondeurs sont susceptibles d'avoir le même électorat, cela ne risque-t-il pas de les affaiblir ?
Anissa El Jabri, journaliste au service France de RFI répond aux questions de Marie Casadebaig et de Jean-Paul, un auditeur de Conakry. -
Arnaud Montebourg face à Jean-Jacques Bourdin en direct
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Manuel Valls, vendredi 26 août 2016, Assumons le débat sur le burkini
Le Conseil d’Etat s’est prononcé sur l’arrêté du maire de Villeneuve-Loubet interdisant les tenues qui manifestent, de manière ostensible, une appartenance religieuse. Il a jugé que la mairie n’avait pas établi le risque de trouble à l’ordre public et qu’elle avait par conséquent excédé ses pouvoirs.Toute décision d’interdiction doit effectivement établir le risque d’atteinte à l’ordre public et être appliquée avec discernement – j’ai déjà eu l’occasion de le dire à plusieurs reprises. Mais, comme vient de le rappeler le ministre de l’Intérieur, le Conseil d’Etat « ne prive pas les maires de ce pouvoir ; il en rappelle à nouveau les conditions de son exercice, dans un cadre juridique conforme aux principes constitutionnels. »Cependant, cette ordonnance du Conseil d’Etat n’épuise pas le débat qui s’est ouvert dans notre société sur la question du burkini. Ce débat n’est pas anodin. C’est un débat de fond, qui vient après d’autres : il y a trente ans, la question du foulard dans les écoles, puis la loi de 2004 sur le port de signes religieux, et celle de 2010 sur le voile intégral dans l’espace public.Bien sûr, il ne faut pas être dupe de ceux, à droite et à l’extrême-droite, qui exploitent ce débat pour pointer du doigt les musulmans. Mais au-delà, une question fondamentale se pose : dénoncer cette tenue, est-ce stigmatiser les musulmans, ou bien est-ce justement le port de signes prosélytes de cette nature qui est un risque pour tous les musulmans de France, alors assimilés à l’islamisme politique militant ? -
Stéphane Le Foll : "Nicolas Sarkozy est toujours dans la brutalité"
Ajoutée le 25 août 2016Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement et ministre de l'Agriculture, était l'invité politique d'iTELE. Il est revenu sur la polémique du burkini en appelant à "être ferme sans rentrer dans une stigmatisation générale", alors que Nicolas Sarkozy souhaite légiférer sur la question. Le porte-parole du gouvernement a dénoncé l'attitude du candidat de droite, en estimant qu'il était "toujours dans la brutalité".