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magnette - Page 2

  • L'actualité des socialistes du 21 au 27 octobre

    A LA UNE : ANDRE GORZ

    Télérama - “Sur le capitalisme et ses dégâts humains et écologiques, André Gorz était visionnaire”

    Décroissance, écologie, travail… Le philosophe et journaliste André Gorz, cofondateur du “Nouvel Observateur”, a proposé avant l’heure des alternatives au capitalisme. Un visionnaire, pour l’historien Willy Gianinazzi, qui publie une biographie de ce penseur.

    En 2006, sa Lettre à D. l’avait fait con­naître du grand public. André Gorz, le journaliste, le philosophe, signait un des plus beaux textes d’amour de la littérature. Soixante-seize pages poignantes et lumineuses sur son amour pour Dorine, absolu, fusionnel, « en deçà et au-delà de la philosophie ». C’était au soir d’une vie multiple et fantastique : un an plus tard, André, 84 ans, et Dorine, 83, se donnaient la mort ensemble.

    REVENU DE BASE

    Altereco, Guillaume Duval - Faut-il mettre en place un revenu de base ?

    En cet automne, la question d’un revenu de base (ou d’existence ou encore universel selon les préférences sémantiques) est au cœur du débat public. Le député socialiste des Yvelines Benoît Hamon en a fait la mesure phare de sa candidature à la primaire socialiste, tandis qu’en face Nathalie Kosciusko-Morizet a choisi d’en faire elle aussi un marqueur dans la primaire de la droite. Les sénateurs de droite Jean-Marie Vanlerenberghe (UDI) et de gauche Daniel Percheron (socialiste) viennent de leur côté de présenter un rapport sur le sujet. Plus concrètement encore, le département de la Gironde veut l’expérimenter en 2018, tandis que le Premier ministre Manuel Valls s’est lui aussi emparé de l’idée en septembre, suite à un rapport remis par Christophe Sirugue au printemps dernier. Et on ne compte plus les débats et écrits sur ce sujet tant dans la sphère citoyenne que chez les universitaires, comme par exemple la journée de travail que l’OFCE y a consacré le 13 octobre.

    PAUL MAGNETTE

    Arnaud Montebourg - Hommage des Français à Paul Magnette

    Voici la version longue de la tribune d’Arnaud Montebourg dans le Monde du 26 octobre 2016

    La mondialisation, présentée comme irréversible, ne serait elle pas en train de rétrécir et de s’inverser ? Loin des prédictions des partisans de la mondialisation heureuse, il ne s’agit en rien d’un repli sur soi, mais du mouvement irrésistible des origines, et du retour de l’histoire et de la géographie. Voilà pourquoi il parait anachronique de signer ou ratifier les traités TAFTA et CETA de libre-échange avec les Etats-Unis et le Canada et de supprimer comme l’envisage, encore en toute discrétion, la Commission Européenne les dernières protections commerciales vis à vis de la Chine.

    La dernière décennie consacra le triomphe des marques : dans le moteur lancé de la division internationale du travail, on trouve les délocalisations, comme outil d’optimisation des marges des entreprises, la montée du low-cost comme outil d’exploitation des travailleurs au nord comme au sud, la financiarisation des entreprises, comme outil de domination de l’économie réelle, et la sacralisation du consommateur, comme objet de la toute puissance acquise du marketing. Pour réussir ce cycle de transformation culturelle de l’économie mondialisée derrière les marques, il convenait d’obtenir l’assentiment et une certaine complicité passive du consommateur.

    La Tribune - Ceta : la Wallonie, mauvaise conscience de l'UE

    La région wallonne n'a pas cédé et rejette toujours le traité de commerce euro-canadien. Un refus qui place l'UE devant ses contradictions et ses limites.

    Haro sur la Wallonie ! Jusqu'ici, la très discrète entité fédérale belge n'intéressait à peu près personne en dehors des frontières du Royaume des Belges. Mais depuis que son parlement a refusé d'accorder au gouvernement fédéral belge le droit de signer le traité de commerce entre l'Union européenne et le Canada (Ceta), elle est devenue « l'ennemie public numéro un » des dirigeants européens. Ce lundi 24 octobre, l'ancien premier ministre belge Elio di Rupio, lui-même ancien ministre-président de Wallonie, a dénoncé les « pressions invraisemblables » sur l'actuel chef du gouvernement wallon, Paul Magnette.

    CHOMAGE

    OFCE - Chômage : forte volatilité, faible baisse

    Département Analyse et prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois de septembre 2016, publiés par Pôle emploi, font apparaître une baisse spectaculaire du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (-66 300 personnes en France métropolitaine). Cette forte baisse fait plus que compenser la hausse tout aussi spectaculaire du mois dernier (+50 200). Au total, sur trois mois, le recul du nombre de demandeurs d’emplois atteint 35 200, troisième baisse trimestrielle consécutive, ce qui n’avait plus été observé depuis le début de la crise au début de 2008. Le chiffre de septembre confirme ainsi le retournement progressif de la courbe des DEFM sur un horizon de temps plus long : depuis le début de l’année, les effectifs en catégorie A ont baissé de 90 000 personnes et de 59 500 sur un an. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), la baisse mensuelle est moins prononcée (-38 000 personnes), probablement parce qu’une partie des inscrits sans aucune activité a changé de catégorie après avoir retrouvé une activité réduite.

    HOLLANDE

    Slate - 4% de satisfaits de François Hollande? Ce sondage est incomparable aux autres

    Le président de la République n'atteint même pas la barre des 5% de satisfaits selon un dernier sondage. Un record historique? Pas vraiment.

    4% de satisfaits. Le résultat de la dernière enquête Cevipof, réalisée par Ipsos et Sopra Steria pour Le Monde, a de quoi calmer les ardeurs d'un président de la République dont on ne sait toujours pas s'il se représentera en 2017. C'est le score le plus faible de la courte histoire de la collaboration entre le centre de recherches politiques de Sciences Po et le quotidien du soir. Jusque-là, François Hollande était tombé à 5% en juin et juillet 2016, mais il avait légèrement rebondi à 6% de satisfaits en septembre. Avant donc de replonger ce mois-ci.

    VALLS

    Libé - Manuel Valls, côté recours

    Rester fidèle à une candidature de François Hollande ? Tout faire pour se présenter à la place du Président en difficulté au risque de se faire battre lui-même ? Plongée dans les tourments du Premier ministre, qui joue là son avenir politique.

    MONTEBOURG

    LCI - Arnaud Montebourg réactive le droit de vote des étrangers, promesse de François Hollande

    ENGAGEMENT - Candidat à la primaire du Parti socialiste, Arnaud Montebourg a réaffirmé mercredi sa promesse d'instaurer le droit de vote des étrangers s'il était élu. Une promesse oubliée de la campagne de François Hollande en 2012.

    C'était une mesure symbolique du candidat Hollande en 2011. Plus précisément, son engagement numéro 50. Le droit de vote des étrangers extracommunautaires aux élections locales, promesse oubliée du quinquennat, sera celle d'Arnaud Montebourg si ce dernier remporte la primaire socialiste.

    Mercredi soir, l'ancien ministre a confirmé son souhait de défendre cette mesure, lors des universités européennes de lutte contre le racisme et les discriminations organisées par la Maison des potes. Elle fera "partie de la réforme de la Constitution" souhaitée par le candidat.

    NANTES

    Revue Politique et Parlementaire, - Renouveau démocratique, l’expérience nantaise de « dialogue citoyen »

    Année après année, chaque mois de janvier, le Cevipof nous livre son baromètre1 de la confiance.

     Et année après année, chaque mois de janvier, les résultats du Cevipof montrent la solidité de la méfiance des Français vis-à-vis de la démocratie : « La défiance vis-à-vis du fonctionnement de la démocratie augmente nettement […] : en 2015, 67 % des personnes interrogées considèrent qu’elle ne fonctionne pas très bien ou pas bien du tout contre 49 % en 2009 (+18 points) ». La défiance est encore plus flagrante encore lorsqu’il s’agit d’évaluer le personnel politique : « L’opinion vis-à-vis des responsables politiques, si elle se situe déjà à un niveau très élevé en 2009, empire encore jusqu’en 2015 : 88 % d’opinions négatives contre 83 % (+5 points) »2.

    NOTRE DAME DES LANDES

    L'Express - Notre-Dame-des-Landes: ce que trahit le nouveau clash entre Valls et Royal

    Le Premier ministre a estimé que la ministre de l'Ecologie, en s'opposant à la construction de l'aéroport, avait "affaibli l'autorité de l'Etat" ce mercredi, sur France inter. Une critique frontale sur fond d'élection présidentielle.

    Entre Manuel Valls et Ségolène Royal, les désaccords sont publics et les accrochages nombreux. En témoigne l'épineux dossier de l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Le premier veut faire évacuer la zone occupée par les zadistes "à partir de cet automne" pour mieux débuter les travaux, tandis que la seconde ne croit pas dans le projet.

    BUDGET

    Europe 1 - Un budget 2017 étiqueté aile gauche du PS ?

    Le vote des recettes du budget 2017, mardi à l'Assemblée, a ravivé les clivages qui minent le groupe socialiste.

    Le dernier budget du quinquennat porte-t-il plus la marque de l'aile gauche que les précédents ? Les députés ont adopté mardi après-midi, en première lecture, le volet recette du dernier projet de loi de finances du mandat de François Hollande, par 285 voix contre 242. L'ambiance délétère qui a régné lors des débats a notamment permis à l’aile gauche du PS de faire passer, parfois avec le soutien des écologistes, des communistes et même de quelques voix de la droite, plusieurs amendements contre l’avis du gouvernement. Des "allures de fin de règne", allait jusqu’à titrer lundi Le Monde. De son côté, l’exécutif tempère : "Les votes qui sont intervenus, parfois contre l’avis du gouvernement, ne dégradent pas le solde et ne remettent pas en cause nos engagements", a déclaré mardi aux Echos le secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.

    Le Monde - Un budget aux allures de fin de règne

    Dans un climat de déliquescence de la majorité, le gouvernement a été mis en minorité à plusieurs reprises.

    Il flotte une drôle d’ambiance autour de la discussion de ce dernier projet de loi de finances du quinquennat, dont la première partie (les recettes) doit être votée mardi 25 octobre à l’Assemblée nationale. La droite s’est efforcée de démontrer que le gouvernement actuel allait laisser à son successeur « quantité de factures impayées dans son armoire », comme l’a dénoncé le président (LR) de la commission des finances, Gilles Carrez. « La marque de fabrique de ce projet de budget pour 2017 : on gonfle les recettes à encaisser en 2017 et on reporte au maximum les dépenses sur 2018 et au-delà », a-t-il expliqué.

    CAMBA

    Jean-Christophe Cambadélis : « Une primaire pour surmonter les désaccords »

    Retrouvez ci-dessous l’interview de Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, à la Nouvelle République, parue le 22 octobre.

    IDENTITE

    Le Point - Le PS se positionne sur la question de l'identité

    Jean-Christophe Cambadélis a présenté ce mardi le sixième Cahier de la présidentielle du PS, intitulé "Être français au XXIe siècle".

    Ce mardi, le PS a avancé une série de propositions sur le thème de l'identité française. Son objectif : ne pas laisser la droite s'emparer seule de cette question « trop sérieuse » dans la campagne présidentielle. « Nous nous opposons frontalement avec la droite qui partage la même conception de la Nation que l'extrême droite », a fustigé le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, au siège du Parti socialiste à Paris, lors de la présentation du sixième Cahier de la présidentielle du PS, intitulé « Être français au XXIe siècle ».

    CAROLINE FOUREST

    Mon vrai désaccord avec Jean Baubérot

    Jean Baubérot se défend de prôner une « laïcité ouverte ». Formidable, mais ce n’est pas mon propos…  Je précise dans mon livre qu’il n’utilise plus cette expression depuis qu’elle est fortement critiquée.

    Mon reproche est ailleurs. Il concerne sa vision relativiste de l’histoire de la laïcité (où toutes les interprétations de 1905 se valent), sa volonté de renégocier la Séparation, son militantisme obstiné pour importer les accommodements religieux » et le modèle canadien, son soutien aux sectes, son vocabulaire caricatural et inversé minimisant le danger du radicalisme religieux tout en parlant de danger « laïciste » et d' »intégrisme républicain ».

    Une conception désarmante de la laïcité qui va jusqu’à la complaisance affichée envers les mouvements religieux radicaux, sexistes et homophobes, comme l’UOIF, qui l’invite presque chaque année à son Congrès.

    Jean Baubérot se défend de placer la liberté religieuse avant l’égalité, mais tous ses travaux et ses prises de positions militent dans ce sens…

    BOUALEM SANSAL

    Le Soir - Boualem Sansal sur l’islamisme: «En Occident, vous êtes dans le déni»

    Pour l’écrivain, les attentats sont le signe que l’islamisation se propage.

    Il se dégage de Boualem Sansal une sérénité, une douceur même, qui contraste avec l’univers aride, sombre et dur du roman 2084. La fin du monde, Grand Prix du roman de l’Académie française en 2015. Cette œuvre, qui projette le lecteur en Abistan, empire entier régi uniquement par la loi de Yölah, révélée par son prophète Abi, où tout libre arbitre, toute pensée et tout doute se voient strictement interdits, vient d’être traduite en néerlandais.

    LEGISLATIVES

    Marianne - Terminer au moins devant Mélenchon en 2017 : le dernier objectif désespéré des élus PS

    De nombreux élus PS, inquiets pour leur réélection, affirment qu'ils choisiront le candidat le plus à même de rassembler en 2017. Pas pour passer au second tour, juste pour limiter les dégâts aux législatives qui suivront en restant devant un Mélenchon ou un Macron.

    Il n'y a pas de candidat naturel pour la présidentielle de 2017. A six mois du scrutin, ce constat dressé par un grand nombre de députés PS interpelle. Repartir avec Hollande, passer chez Valls, temporiser avec Royal ou renverser la table avec Montebourg ? Ceux qui ne font partie d'aucune écurie s'interrogent particulièrement. Plus que sur les orientations programmatiques, de nombreux responsables socialistes affirment aujourd'hui qu'ils feront leur choix en fonction des sondages. Faute de pouvoir s'appuyer sur un candidat susceptible de l'emporter, plusieurs élus affirment d'ores et déjà vouloir se ranger derrière l'homme qui leur assurera... la troisième place, pourtant synonyme d'élimination au premier tour

    MACRON

    Huffington Post - Les cadres socialistes de "En Marche!" vont-ils être exclus du PS?

    Ce mercredi 26 octobre, Emmanuel Macron dévoilait l'organigramme de son mouvement dans lequel figurent plusieurs membres du PS.

    Devant un parterre de journalistes venus nombreux au Pavillon Gabriel à Paris, Emmanuel Macron a présenté ce mercredi 26 octobre l'état-major de son mouvement "En Marche!". Un secrétaire général et neuf délégués issus du monde politique et économique parmi lesquels on retrouve trois élus socialistes: Richard Ferrand (député du Finistère), Stéphane Travert (député de la Manche) et Bariza Khiari (sénatrice de Paris).

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE : EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    REPUBLIQUE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.