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  • PS - Le projet : audition de Philippe Piard, président de l'association Secrets Toxiques,à 15h30 le 3 octobre

    Planifié pour le 3 oct. 2025
    Convaincu·es qu’un projet de transformation de la société ne peut se construire qu’en impliquant les forces vives du pays, nous lançons une série d’auditions participatives Maintenant, le projet ! au cours desquelles nous échangerons avec des expert·es, des associations et organisations engagées dans la vie citoyenne. Philippe Piard est le président de l'association Secrets Toxiques

  • Obervatoire des inégalités - Baisses d’impôts : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France

    En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.

    Comme le souligne le Premier ministre François Bayrou, l’argent manque cruellement dans les caisses de l’État. Fin 2024, notre dette s’élevait à 3 305 milliards d’euros et le déficit public à 169 milliards d’euros. S’en étonner constitue une énorme hypocrisie : depuis des années, les gouvernements qui se sont succédé ont gaspillé l’argent public en diminuant les impôts et les prélèvements sociaux. Ils ont fait fondre les recettes sans que ces mesures aient d’effet important sur l’activité économique. Et notre pays se retrouve sans ressources pour financer l’école, la santé ou la sécurité : des services publics qui jouent un rôle essentiel dans nos vies de tous les jours.

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  • LVSL - À Madagascar, la « Gen Z » se révolte contre la corruption

    Depuis trois jours, des manifestations inédites agitent Madagascar. À l’appel du collectif de jeunesse « Gen Z Madagascar » sur les réseaux sociaux, et malgré l’interdiction, jeudi, de manifester de la préfecture d’Antananarivo, des milliers de Malgaches ont défilé dans les rues de la capitale pour dénoncer « les coupures d’électricité constantes et le manque d’accès à l’eau potable ». Le mouvement, largement composé de jeunes et d’étudiants, se revendique « pacifique et citoyen ». Au fil de la journée, la contestation a été durement réprimée : gaz lacrymogènes, violences physiques, arrestations musclées et tirs de balles en caoutchouc. Les premiers bilans font état de plusieurs dizaines de blessés et de plusieurs morts, tandis que des ONG redoutent un chiffre plus lourd. Dans un pays où 75 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, cette mobilisation, qui semble se tenir à distance des partis politiques, dénonce un système jugé corrompu. De nouvelles manifestations ont suivi vendredi et samedi dans les grandes villes de province — Majunga, Tamatave, Tuléar. À Diego Suarez, une foule a défilé en portant le corps d’un étudiant tué par les forces de l’ordre. Madagascar s’achemine-t-il vers sa plus grave crise politique depuis l’instauration de la IVe République en 2009 ? Sur le terrain, témoignages des jeunes mobilisés et retour en images sur la situation ces 72 dernières heures.

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