A LA UNE
Fondation Jean Jaurès,Joceran Gouy-Waz - Redressement des finances publiques et investissements d’avenir : comment mieux répartir l’effort entre les générations
Face à la situation financière dégradée et au regard des défis écologiques, Joceran Gouy-Waz, normalien et agrégé de sciences économiques et sociales, propose dans cette note de l’Observatoire de l’économie de la Fondation une mise à contribution des retraités les plus favorisés à travers plusieurs mesures qui répondraient aux enjeux de justice sociale, environnementale et d’efficacité économique.
Introduction
La France se caractérise aujourd’hui par une situation financière dégradée alors que les grandes transformations en cours, principalement écologique et démographique, impliquent des besoins de financement accrus dans les années qui viennent. Nous soutenons dans cette note qu’une mise à contribution accrue des retraités les plus favorisés constitue la mesure la plus pertinente, à la fois en termes de justice sociale et d’efficacité économique, pour rétablir une trajectoire soutenable sans obérer nos chances de relever les grands défis économiques à venir.
20 janvier
Les 4 vérités - Philippe Brun
Libé - François Bayrou est-il revenu sur une promesse faite aux socialistes en baissant l’indemnisation des agents publics malades ?
Le Figaro - Jean-Luc Mélenchon n'est pas «le chef» du Nouveau Front populaire, tacle Olivier Faure
«Si à chaque désaccord, il organise une purge comme il a déjà pu le faire dans son propre parti, il finira tout seul», a pointé le premier secrétaire du Parti socialiste dans un entretien à La Dépêche.
Jean-Luc Mélenchon, qui accuse les socialistes de «forfaiture» après leur refus de censurer le gouvernement jeudi, «n'est pas le chef du Nouveau Front populaire», souligne le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure dans un entretien à La Dépêche, ce 18 janvier.
19 janvier
Marianne - Jean-Luc Mélenchon estime que le Parti socialiste n’est plus "un partenaire" et Hollande une "machine à tromper"
Qui dit dimanche dit entretiens politiques. Invité de RTL et Public Sénat ce 19 janvier, Jean-Luc Mélenchon en a profité pour régler ses comptes avec le Parti socialiste et l'ancien président de la République, François Hollande. L'union de la gauche semble de plus en plus fracturée, à l'approche du vote du budget.
Le Monde - Après la non-censure du gouvernement, François Hollande considère que les socialistes « constituent le pôle central » de l’Assemblée nationale
« Rien ne peut se faire sans [les socialistes], ni contre eux », juge l’ancien président, redevenu député, alors que le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a engagé une négociation avec le premier ministre, François Bayrou, plutôt que de censurer son gouvernement.
18 janvier
HufPost - En esquivant la censure, le Parti socialiste a-t-il (vraiment) sauvé François Bayrou ?
Si le Premier ministre a échappé à une première motion de censure, cela ne signifie pas que le PS a renoncé à utiliser cette arme. Explications.
Car non, un vote du groupe présidé par Boris Vallaud n’aurait en aucune façon provoqué la chute du gouvernement, puisque le RN (ostensiblement absent de l’hémicycle) avait annoncé son refus de voter la censure. Or, sans les voix du parti d’extrême droite, il est impossible de faire tomber un exécutif soutenu par le bloc central et son nouvel allié LR. Par ailleurs, le Parti socialiste n’a pas renoncé à censurer le gouvernement.
Ouest France - Censure, budget, retraites… Friture sur la ligne au NFP, Olivier Faure étrille Jean-Luc Mélenchon
Pour le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Luc Mélenchon n’est « pas le chef » du Nouveau Front populaire et s’expose à finir « tout seul ». Olivier Faure défend l’autonomie du PS et son choix d’avoir noué un début de compromis avec François Bayrou et son gouvernement.
18 janvier
Le nouvel Obs - La non-censure de François Bayrou ou la petite rupture d’Olivier Faure
Analyse Après d’âpres débats, les députés PS ont finalement choisi de ne pas censurer le gouvernement. Et pris ainsi leurs distances avec La France insoumise qui les accuse de trahison.
Quelque chose a bougé à gauche ce jeudi 16 janvier. Après des débats parfois houleux, les députés du Parti socialiste (PS) ont finalement décidé de ne pas censurer François Bayrou, s’attirant aussitôt les foudres du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon. Cette décision n’a pas été simple à prendre. Il a fallu d’ultimes concessions de la part du maire de Pau et plusieurs réunions parfois tendues pour y parvenir.
17 janvier
20 minutes - Gouvernement Bayrou : Pourquoi le Parti socialiste ne vote pas la censure du gouvernement (tout de suite) ?
ASSEMBLEE•Le groupe socialiste, qui souhaite se détacher de la stratégie des insoumis, ne va pas voter la censure du gouvernement de François Bayrou
Le Figaro - Les députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le premier ministre
Cette décision a été actée mercredi après-midi lors d’une réunion du groupe parlementaire et entérinée jeudi par le bureau national.
Au bout du suspense, les 66 députés socialistes ont décidé de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. La décision a été prise au terme de plusieurs heures de discussions lors d’une réunion de groupe mercredi après-midi à l’Assemblée nationale, où une large majorité des participants s’est exprimée en faveur de la non-censure. «On a maintenu le doute sur notre position jusqu’au bout pour tenter d’obtenir davantage de Matignon», souffle un élu. Une stratégie payante puisqu’une lettre du premier ministre aux présidents de groupe parlementaire a lâché d’ultimes concessions aux socialistes jeudi à la mi-journée.
Ouest-France - Motion de censure : qui sont les députés PS qui n’ont pas suivi Olivier Faure et qui ont voté pour ?
Huit députés socialistes ont voté la motion de censure déposée par La France insoumise et finalement rejetée jeudi 16 janvier. Une décision prise contre l’avis du premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. Qui sont-ils ? On fait le point
16 janvier
Boris Vallaud s'exprime après la déclaration de politique générale de François Bayrou
Coup de gueule de Marine Tondelier sur le discours de politique générale de François Bayrou
"Tant que vous vous obstinerez à ne rien changer, nous n’aurons d’autre choix que censurer. "
Les 4 vérités - Boris Vallaud
RMC - Retraites, budget… les socialistes sont en colère: "On s'est fait promener pendant une semaine"
14 janvier
"Le gouvernement doit comprendre qu'il a été battu aux élections législatives." Olivier Faure
France Info - Réforme des retraites : Olivier Faure attend de François Bayrou qu'il prononce le mot "suspension" lors de sa déclaration de politique générale
Le gouvernement négocie actuellement avec la gauche, à l'exception de La France insoumise, des mesures dans le budget pour éviter qu'elle ne vote la censure comme avec Michel Barnier il y a un mois.
13 janvier
Invitée ce dimanche du «Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat», la secrétaire nationale des Écologistes a exhorté l’exécutif à «montrer qu’il a cédé sur des marqueurs forts pour les Français».
20 minutes - Lucie Castets croit toujours en l’union de la gauche avant ses « vœux de la victoire »
13 janvier
France Info - Législative partielle en Isère : les candidats du Nouveau Front populaire et d'Ensemble qualifiés pour un second tour
Onze candidats étaient en lice dans cette circonscription qui regroupe Grenoble et ses banlieues pour succéder au député LFI sortant, Hugo Prevost.
11 janvier
France Info - Budget 2025 : le Nouveau Front populaire au bord de la rupture ?
Alors que la préparation du budget 2025 est au centre des discussions à Bercy, le PS, les Verts et le PC participent aux tractations, sans LFI. La dynamique des négociations autour de la réforme des retraites a particulièrement agacé Jean-Luc Mélenchon.
10 janvier
Les Echos - Retraites : la piste du Fonds de réserve pour financer une suspension de la réforme
Le patron du Parti socialiste, Olivier Faure, a suggéré jeudi de faire appel au Fonds de réserve pour les retraites, pour encaisser le choc d'une éventuelle mise en pause de la réforme reportant l'âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans.
Slate - Négociations sur le budget: la gauche va-t-elle exploser en vol?
Les discussions autour du projet de loi de finances 2025 semblent avancer. Socialistes, communistes et écologistes cherchent la solution à un accord avec le gouvernement pour éviter la censure.
France Info - Retraites : "Si le gouvernement ne cède pas sur une suspension de la réforme, il y aura une censure des socialistes", prévient le député PS Philippe Brun
Tous les partis de gauche ont participé à une seconde réunion à Bercy mercredi. Seul LFI était absente. Jean-Luc Mélenchon a critiqué leur "servilité". "Il y a quelque chose de désespérant à penser que discuter dans une démocratie où il n'y a pas de majorité, c'est se compromettre", balaie le socialiste.
9 janvier
Les 4 vérités - Sophie Binet
Olivier Faure : "Pas de véto" du gouvernement sur les retraites
La gauche à un tournant - L'édito politique de Patrick Cohen
Le Monde - Budget 2025 : Jean-Luc Mélenchon dénonce la « forfaiture » du PS, des Ecologistes et du PCF après leur participation à une nouvelle réunion à Bercy
La gauche sans LFI a été reçue mercredi par les ministres de l’économie et des comptes publics. « La gauche du tout ou rien, c’est aujourd’hui la gauche du rien », a déclaré Olivier Faure pour justifier de négocier avec le gouvernement.
BFM - "La gauche du rien": Faure répond aux critiques de Mélenchon après les négociations sur le budget
Alors que l'insoumis cogne sur les autres forces du NFP qui négocient avec le gouvernement autour du budget, le premier secrétaire du Parti socialiste (PS) cherche à le renvoyer dans les cordes, dénonçant "la gauche du tout ou rien" et appelant à la "recherche du compromis".
HuffPost - Les négociations sur le budget à Bercy vont-elles faire exploser le Nouveau Front populaire ?
Socialistes, écologistes et communistes assument d’aller négocier avec le gouvernement. Contrairement aux insoumis, qui parlent « d’irrespect » à l’égard du NFP.
Regards - Le Parti socialiste en quête d’un compromis fécond
Le PS a entamé des négociations avec les ministres de l’économie et des comptes publics. À quelles fins ?
Ce mardi, Olivier Faure en a posé les enjeux de ces pourparlers sur France Inter avec une argumentation en 3 points :
- 1. Il faut un budget pour la France.
- 2. Le PS est ouvert au compromis parce que « s’il n’y a pas ce dialogue fécond, cela conduit à ce que l’extrême droite soit appelée au pouvoir, comme c’est le cas, en ce moment même, en Autriche ».
- 3. Les négociations vont porter essentiellement sur les retraites, les dépenses de services publics (éducation, santé…), le pouvoir d’achat et la justice fiscale.