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  • LVSL - Claudia Sheinbaum : « Conquérir l’autarcie énergétique, faire du Mexique un leader de la transition »

    Ancienne maire de Mexico, la candidate Claudia Sheinbaum promet d’approfondir la transition politique impulsée par le président Andrés Manuel Lopez Obrador (« AMLO »). Élu en 2018, reconduit dans ses fonctions trois ans plus tard dans le cadre d’un référendum révocatoire, celui-ci a mis en œuvre une batterie de mesures sociales en faveur des classes populaires. Si leur ampleur demeure controversée, si plusieurs fondamentaux du néolibéralisme n’ont pas été entamés, elles ont permis un accroissement spectaculaire des bas salaires et une dynamique sans précédent de syndicalisation. De même, plusieurs initiatives diplomatiques d’AMLO, visant à défendre l’autonomie du Mexique face aux États-Unis, ont été saluées par la gauche. Un héritage que revendique Claudia Sheinbaum, qui souhaite accroître la dimension écologiste de ce processus et mener à bien la nationalisation du lithium pour impulser une transition énergétique. En septembre dernier, nous rencontrions la candidate dans la ville de Puebla pour évoquer ces enjeux. Traduction par Nubia Rodriguez.

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  • LVSL - Le tournant patronal du Rassemblement National, prélude de son arrivée au pouvoir ?

    Déjeuners avec les grands patrons français, positionnement géopolitique de plus en plus atlantiste, opposition au libre-échange largement adoucie… Porté par d’excellents sondages, le Rassemblement National prépare activement sa potentielle arrivée au pouvoir en se rapprochant des milieux économiques et en tournant définitivement la page de l’ère Philippot. Qu’il s’agisse de rencontres avec des figures du monde des affaires, de changements programmatiques ou de refonte des alliances avec les autres partis d’extrême-droite, le RN est toujours discret sur ces évolutions. Il sait en effet que son électorat populaire en sera la première victime.

    Mais où était Jordan Bardella ? Pendant des semaines, l’ultra-favori de l’élection européenne a séché tous les débats télévisés, envoyant ses lieutenants à sa place. Certes, en acceptant les invitations, il aurait été la cible de toutes les attaques et avait donc plus à perdre qu’à gagner. Bien sûr, il a aussi fait quelques meetings et tourné des vidéos pour ses réseaux sociaux. Mais le dauphin de Marine Le Pen semble surtout s’être employé à convaincre un groupe jusqu’alors assez réticent à l’arrivée du pouvoir du RN : le patronat.

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