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  • Idées d'été - 15 marches - Il était une fois la France d'après

    Du Houellebecquistan au Casselyverse, voyage dans la France sous nos yeux, le livre qui ouvrira les vôtres

    Durant ces vacances j’ai terminé “la France sous nos yeux” de Jérome Fourquet (IFOP) et Jean-Laurent Cassely (journaliste).

    Pour un consultant comme moi qui tente maladroitement de relier urbanisme, économie et modes de vie, cet ouvrage est une source inépuisable de réflexions et d’inspirations. Étant né 10 jours avant Stéphane Plaza, je ne peux que constater à quel point mon pays a changé sans que j’ai toujours eu le loisir - ou la volonté - de bien le comprendre.

    Car la France “sous nos yeux” est en réalité souvent la France “vue à la télé” ou “croisée en bas de l’immeuble”. Une France d’invisibles auxquels on ne s’intéresse que quand ils bloquent des ronds-points ou sont appelés aux urnes. Nos compatriotes forment désormais un tableau complexe et composite que le livre réussit brillamment à brosser.

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  • Le Point - Olivier Falorni : « Olivier Faure, c’est un peu le Georges Marchais de 2022 »

    ENTRETIEN. Le député non-inscrit de Charente-Maritime est sévère sur l’attitude des élus Insoumis, mais aussi avec ses anciens camarades du PS.

    Son titre de gloire est d'avoir battu, sèchement, Ségolène Royal en 2012. Les projecteurs s'étaient alors braqués sur Olivier Falorni par la grâce d'un tweet cinglant de Valérie Trierweiler, à l'époque compagne de François Hollande, en pleine campagne pour les élections législatives : « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé. » Depuis, l'ancien patron du PS de Charente-Maritime, exclu du parti en 2012, a renoué avec la discrétion. Il a toutefois été réélu en 2017 puis en 2022, haut la main (66 %) et seul contre presque tous : en juin, il a affronté deux listes concurrentes, l'une du parti macroniste, l'autre de la Nupes… « Ça rend libre ! » s'amuse Olivier Falorni. De cette liberté, il compte user. L'ami de François Hollande tente de constituer à l'Assemblée nationale, d'ici l'automne, un groupe de centre gauche, avec d'autres députés hostiles à la Nupes, comme les socialistes David Habib ou Laurent Panifous. Falorni est persuadé que la social-démocratie, malgré les coups de boutoir de Jean-Luc Mélenchon, a encore un avenir. Il s'en explique.

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