Marre de Finkielkraut, Zemmour et des autres colosses médiatiques néoréacs... Un autre paysage intellectuel se recompose fort heureusement.
Il n’y en a que pour lui depuis deux mois. Jamais on a autant pris son pouls, regretté son silence, ou au contraire déploré qu’il parle trop, qu’il parle mal, jouant les accélérateurs du pire dans un pays que beaucoup voient au bord de la décomposition politique. L’«intellectuel français» canonique, dont Régis Debray prononçait déjà l’acte de décès il y a quinze ans dans «I.F. suite et fin» (Gallimard), bougerait donc encore.
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